les legendes du mountakhab

[izmiralda]

Né le 13 Janvier 1955 à Casablanca, Abdelkrim Merry que tout un peuple a surnommé KRIMAU détient un palmarès que de nombreux joueurs aimeraient avoir. En effet, Merry KRIMAU a eu l’immense privilège de participer mais également d’évoluer au sein de la première sélection africaine à atteindre les huitièmes de finale d’une coupe du Monde (1986). Krimau a également été finaliste de la coupe de l’UEFA (1978) et demi-finaliste de la Coupe d’Afrique des Nations en 1988.
Attaquant hors paire grâce notamment à sa combativité sur le terrain et sur tous les ballons lui a valu l’admiration de tout un peuple.
Krimau fut ses débuts au sein de l’Espérance de Casablanca où il obtiendra rapidement un bon d’entrée au sein de la sélection nationale Junior. Lors d’un tournoi international Junior, le talent de Krimau n’échappa pas aux yeux de Bastia (1974) qui voit en Krimau un talent hors norme.
Krimau ira par la suite à Lille, Toulouse, Metz, Tours, Le Havre et est venu finir sa carrière au Matra Racing (1988).
Merry marqua de nombreux buts durant toute sa carrière mais le but face au Portugal lors du Mondial 1986 fut de toute beauté et sur lequel de nombreuses écoles de football devrait s’inspirer.

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Nom : Merry
Prénom : abdelkrim
Date de Naissance : 13 janvier 1955
Lieu : Casablanca
Statut : Ancien international
Nationalité : Marocain
Poste : Attaquant
Coupe du Monde : 1986 (Mexico) avec 4 matches - 1 But
Palmarès : finaliste coupe de l’UEFA 1978
1/8 finaliste Coupe du Monde 1986
½ finaliste de la CAN 88.
Clubs : Espérance de Casablanca
Bastia. Remarqué par Bastia lors d’un tournoi International junior (1974).
Lille (1980).
Toulouse (1981).
Metz (1982).
Tours (1984).
Le havre (1986)
Matra Racing (Paris ) 1988.

[asmed-Bxl]

Abdelkarim Merry KRIMAU

[asmed-Bxl]

(11 Juin : Maroc / Portugal 3-1) Mexico 86, après 199 minutes de match, les "Lions de l’Atlas" se débarrassent du Portugal, et occupent la première place du groupe F à Guadalajara et se qualifient pour le second tour. Tout démarre doucement, les footballeurs marocains ont séduit le monde du football par leur jeu léché, emmené par un maestro qui portait le nom de Aziz Bouderballa et d’un chef particulier, Abdelkarim Merry KRIMAU, un guerrier des surfaces qui se battait sur tous les ballons sans jamais rien lâcher. Après le but de Abderrazak Khairi (un boulet de canon) qui envoya le ballon dans les filets du gardien portugais (Damas) et un deuxième but du même Khairi, le troisième fut de toute beauté et mérite qu’on le montre dans toutes les écoles de football. Il est l’œuvre de … Merry Krimau tout simplement.

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Marhoume Aziz Daidi

Un des meilleurs jouer le Maroc a connu

[izmiralda]

MOHAMED TIMOUMI




Né le 15 Novembre 1960 Mohamed TIMOUMI débuta sa carrière au Ittihad Tourarga où il s'illustrera très rapidement comme un redoutable meneur.
Ces performances n'ont pas échappé aux dirigeants du FAR aux yeux desquels Mohamed Timoumi figurait comme la recrue idéale. C'est donc sans grand étonnement qu'il s'engagea avec le club de la capitale. Timoumi explosera réellement au poste de meneur de jeu à Rabat où il y gagnera notamment la Coupe d'Afrique des Clubs Champions.
Au vu de ces performances extraordinaires, il était logique qu'il obtienne en 1985 une récompense tant attendu par tous les joueurs africains. En effet, il est logiquement élu meilleur joueur africain.
1986 est une année inoubliable. En effet, Mohamed Timoumi participe à la coupe du monde avec le Maroc qui figure comme une équipe très dangereuse et passera pour la première fois les phases finale d'une coupe du monde. Timoumi jouera tout les Matchs de cette coupe du monde et fera de très bon match. (Pologne, Angleterre, Portugal et Allemagne).
Il endossera à 40 reprises le maillot national et marquera à dix reprises.
Mohamed Timouni est alors convoité par de multiples clubs Européens et c'est en Espagne qu'il décidera de déposer ces valises. Il ira par la suite en BELGIQUE, refera son retour au Maroc (l'Olympique Khouribga) et finira sa carrière à Oman.

[izmiralda]

ABDELMAJID DOLMY




Né à Casablanca, Abdelmajid Dolmy a joué pour le Raja de Casablanca.
En 1971, Dolmy découvre pour la première fois les couleurs nationales et pourtant il n’avait que 18 ans.
Joueur polyvalent au sein des Lions de l’Atlas, Dolmy était le joueur incontournable du milieu de terrain dans l’équipe nationale. Beaucoup le considère comme le meilleur milieu de terrain marocain de tous les temps grâce notamment à ses passes précises et surtout décisives qui ont fait de lui la vedette numéro 1 du mountakhab.
Comme toute légende, le royaume le surnomma « L’maallem » qui signifie le maître. Dolmy gagne alors le respect des joueurs mais aussi des arbitres grâce notamment à son comportement exemplaire sur et en dehors des terrains. Il recevra de l’UNESCO la médaille de l’esprit sportif. Aucun carton rouge n’a été enregistré pendant toute sa carrière.
Lors du Mondial 1986, il montra toute l’étendue de ses qualités en faisant régner l’ordre au sein du milieu de terrain et en dirigeant parfaitement l’attaque des Lions. Les Européens seront, en grande majorité, séduit par l’exploit de ce joueur au talent imprévisible.
Dolmy arrêtera quand même sa carrière juste après la coupe du monde 1986 sur une excellente note et il terminera alors sa carrière professionnelle avec le club Olympic de Casablanca.

[izmiralda]

ABDERRAZAK KHAIRI

Milieu de terrain redoutable, Khairi a donné le tournis à bon nombre de défense que ce soit contre une nation africaine ou même européenne, la sentence était la même !
Kairi restera aux yeux de tous, la véritable clef de l’excellent parcours des Lions de l’Atlas lors du Mondial 1986. Une technique hors paire et une frappe de balle puissante on fait de lui un joueur unique mais surtout exceptionnel.
Il a réussi à faire vibrer tout un peuple en l’espace d’un match et par la même à attirer l’œil admiratif de tous les experts du ballon rond.
En effet, il fut vraisemblablement le véritable artisan des victoires du Maroc mais il fut pour beaucoup dans l’excellent classement obtenu lors du premier Tour du Mondial 1986.
Kairi marqua deux buts lors de la rencontre opposant les Lions de l’Atlas au Portugal où le Maroc domina et remporta très largement par 3 buts à 1.
En l’espace d’un match Khairi deviendra légende vivante du Royaume.

[AMAZIGH_]

[amine-36]

Vous oublier deux grands légendes qui on donner la seule et unique coupe d'Afrique au Maroc, Baba et Chrife les deux joueurs qui jouer pour DHJ, a part ça je ne voit aucune légende du mountakhab

[billo]

bonjour a tous , je voudrais savoir si quelqu'un parmis vous sait comment se nomme le frere de merry krimau ?
je sais juste qu'il etait egalement joueur de foot professionel !
merci de votre aide

[reda-lord]

dans notre football ya + dune legende

[rayan_77]

franchement tu t y connais izmiralda en foot ta raison KRIMAU DOLMY ZAKI BOUDERBALA c etait la generation en or du foot africain dommage qu on est pas gagné la can 88 et 2004

[houssame]

Eh oui plein de grand joueur mais la star des stars dont Pelé a dit ainsi : « Si je suis le roi du Football, alors Ben Barek en est le Dieu. » eh oui c Larbi Ben Barek (la perle noire), meilleur joueur jamais connu. je vous laisse decouvrir

Larbi Benbarek, né en 1917, à 300km de Casablanca, un jour qu'il ignore. Ainsi, l'année, mais aussi le jour de naissance pose problème.

Larbi Ben Barek fait ses débuts au sein de l'équipe casablancaise de l'Idéal Club (1934), modeste club de la D2 marocaine de l'époque. Lors de son tout premier match sous les couleurs de l'Idéal, Larbi affronte la redoutable formation de l'Union Sportive Marocaine, triple vainqueur du championnat d'Afrique du Nord. Refusant les chaussures à crampons dont il n'a pas l'habitude, Larbi joue en savates. Il marque deux fois au cours de cette partie et aide activement l'Idéal à s'adjuger une bonne 3e place en championnat. En coupe du Maroc, Larbi et l'Idéal atteignent la finale (1935), mais s'inclinent sur le fil face au RC Marocain. Au cours de ce match, Larbi est impressionnant et la presse marocaine le couvre d'éloges. Dans la foulée, Larbi est sélectionné pour la première fois avec l'équipe « régionale » du Maroc qui affronte son homologue de la Ligue algérienne d'Oran.

L'US Marocaine recrute alors Larbi en lui fournissant un travail de pompiste. Ce transfert implique alors que Larbi évolue une saison complète en réserve... Malgré cette situation, il est toujours sélectionné en équipe du Maroc. Larbi débute véritablement avec l'US Marocaine en septembre 1936 et dispute notamment avec l'US Marocaine la finale de la Coupe Steeg, finale du championnat d'Afrique du Nord, le 12 juin 1938 face aux Algériens de Bône. La JBAC s'impose 3-1 sur l'USM de Benbarek. Larbi attire très vite l'attention des grands clubs de métropole. Un match Maroc-France B disputé en avril 1937 lui vaut ses premiers articles élogieux dans la presse métropolitaine. L'Olympique de Marseille s'attache ses services en juin 1938. L'US Marocaine ne lache pas facilement son joueur, mais accepte finalement l'offre marseillaise de 44 000 francs après avoir refusé une première offre du même Olympique de Marseille au début de l'été 1937. Larbi débarque à Marseille le 28 juin 1938.

Cinq mois après son arrivée en métropole, Larbi Benbarek, fait sa première apparition en équipe de France dans l'ambiance volcanique de Naples le 4 décembre 1938 face à l'Italie. Le public italien siffle copieusement les Français, et Benbarek tout particulièrement. Larbi ne possède en effet pas la nationalité française, et les Italiens chambrent... En réaction à ces sifflets clairement racistes, Larbi chanta alors à gorge déployée la Marseillaise ! Cette réaction fut largement reprise par les médias, et Larbi fut alors totalement adopté par tous les supporters du club France, qui le connaissaient très peu jusque là. Larbi entame alors la plus longue carrière jamais signée par un joueur sous le maillot frappé du coq : 15 ans et 10 mois !

Pas Français, Larbi n'est pas mobilisé en 1939-40. Il trouve refuge à Casablanca pendant la Seconde Guerre mondiale et évolue alors de nouveau à l'US Marocaine. En 1945, le président du Stade Français met en place à Paris une équipe de vedettes. Larbi en constitue l'une des pièces maîtresses sous la conduite d'Helenio Herrera. Quand le Stade est dispersé aux quatre vents après trois années de stars system, Larbi se retrouve à l'Atlético de Madrid en Espagne pour un montant de transfert de 17 millions de francs de l'époque. Entre 1948 et 1953, il remporte deux titres de champions d'Espagne et marque les esprits (1950 et 1951).

Benbarek rejoint l'Olympique de Marseille en fin de carrière. Avec l'OM, il joue une finale de coupe de France perdue face à Nice. Lors de son séjour olympien, il honore sa dernière sélection en équipe de France le 16 octobre 1954 face à l'Allemagne en amical. Cette sélection tardive, c'est au public du Parc des Princes que Larbi la doit. Neuf jours avant le match devant opposer les Bleus aux champions du monde en titre, Larbi est rayonnant au cours d'une partie amicale disputée au parc : France-Afrique du Nord (2-3). Larbi joue cette rencontre sous le maillot de l'Afrique du Nord, mais sa prestation et son prestige sont tels, que le public réclame et obtient sa sélection chez les Bleus sur l'air des lampions ! Victime d'un ennui musculaire, Larbi doit quitter le terrain après 27 minutes de jeu face aux Allemands. Quelques semaines plus tard, Larbi Benbarek met un terme à sa carrière de footballeur à 40 ans.

Surnommé « la perle noire », Larbi fut, au Maroc, en France et en Espagne, une star adulée en raison de sa technique et sa grande élégance dans tous ses gestes. Les meilleurs spécialistes le considèrent comme l'un des tous meilleurs footballeurs de tous les temps. Pelé dira ainsi : « Si je suis le roi du Football, alors Ben Barek en est le Dieu. » Sa carrière de joueur achevée, Larbi se reconvertit en entraîneur.

Palmarès
Champion d'Espagne : 1950 et 1951 avec l'Atlético de Madrid. (premier français à remporter ce titre avec Marcel Domingo)
SuperCoupe d'Espagne (Coupe Eva Duarte) : 1951
Champion de l'Afrique du nord : 1942 avec Union Sportive Marocaine
Plus longue carrière en équipe de France de 1938 à 1954, soit 15 ans et 10 mois (17 sélections et 3 buts).

Carrière (joueur)
1934-1935 : Idéal Club Casablanca Maroc
1935-1936 : US Marocaine (réserves) Maroc
1936-1938 : US Marocaine Maroc
1938-1939 : Olympique de Marseille France
1940-1945 : US Marocaine Maroc
1945-1948 : Stade français France
1948-1953 : Atlético de Madrid Espagne
1953-1955 : Olympique de Marseille France
1955-1956 : USM Bel-Abbès Algérie
1956-1956 : Stade Marocain Maroc
1956-1957 : FUS de Rabat Maroc