[color=white]tu as donc preferé le quartier de Harlem que le quartier Hau mohmaddi .
non , je trouve n'a rien a voir, c juste pour rigoler , passe une bonne soirée , moi demain , je commence mon stage . souhaite moi bon courage frero, et see u tres bientot ! ok a+ [/color]
que dieu soit avec toi mo frere !!
alahouma ij3alna mena attawabin !
bon courage frero & take care
rouh ya cheikh, allah eddik 3ala addi niyatek , danta baladiyat . _________________ Ton coeur est libre,Trouves le courage de le suivre !
Age: 59 Zodiaque: Signe Chinois: Inscrit le: 29 Juin 2004 Messages: 4894 Localisation: France
Mississippi Burning
aux inconditionnels de Gene Hackman
1964, Jessup, dans l'état du Mississipi. Trois jeunes militants pour les droits civiques, dont un noir, disparaissent. Deux agents du FBI, Anderson (Gene Hackman) et Ward (Willem Dafoe), arrivent pour mener l'enquête. Ils se heurtent à l'hostilité latente de la population locale, à l'hostilité affichée des policiers locaux, en particulier le Sheriff Ray Stuckey (Gailard Sartain) et son adjoint Clinton Pell (Brad Dourif), ainsi qu'à l'hostilité agressive des membres du KKK, plus ou moins dirigés par le puissant chef d'entreprise Clayton Townley (Stephen Tobolowsky). Autant dire que leur mission ne sera pas facile, d'autant plus que les rares Noirs qui acceptent de leur adresser la parole sont sauvagement punis par le Klan...
Triste rétrospective d'un drame bien réel survenu il y a quarante ans, dans ce pays qui se voudrait la référence mondiale en matière de liberté et de lumière spirituelle ! Un minuscule drame qui aurait sans doute rejoint dans l'oubliette des monstruosités concoctées par l'homme, les milliers de ses petits et grands frères, s'il n'y avait eu deux blancs parmi les trois morts. Alan Parker abandonne ici les rutilances baroques et oniriques de l'excellent "Angel Heart", sorti l'année précédente, pour se concentrer, avec une sobriété efficace, sur cette enquête particulièrement difficile, dont l'objectif de justice et d'humanité se voit noyé dans un déchaînement d'obscurantisme et de violence digne d'un Moyen-Age ténébreux.
Le réalisateur utilise, pour vivifier et aérer sa narration, un moyen classique, qui a fait ses preuves dans de nombreux films de tous genres ("L'arme fatale", "Seven", "Une journée en enfer", etc...) : la juxtaposition de deux hommes, dont les tempéraments s'opposent tout autant que les méthodes, contraints de cohabiter et de mener ensemble un combat qu'ils n'appréhendent pas du tout de la même manière. Ici, c'est la confrontation du jeune idéaliste, Ward, bourré jusqu'à la gueule de principes moraux excellents, mais aux initiatives inadaptées à ce terrain rétrograde et hermétique qu'il ne connaît pas, avec l'ancien habitant de la contrée, Anderson, (Gene Hackman toujours aussi charismatique), désabusé, amer, violent, adepte de méthodes peu orthodoxes, mais imprégné de cette culture archaïque dont il s'est heureusement éloigné. Cependant, au-delà de son utilité primaire (antagonismes verbaux et matériels, affrontements...), cette dualité sert la démonstration navrante que, quelle que soit la technique utilisée, la justice n'a guère sa place lorsque le terreau est infertile à sa pousse.
Construit à la fois comme une enquête policière, comme un documentaire (intervention des médias qui se font copieusement agonir par les habitants), l'oeuvre est aussi une tragédie intimiste qui, à travers le personnage symptomatique de Mrs Pell (Frances Mc Dormand), peint, avec simplicité et humanité, la lâcheté ordinaire, faite d'aveuglement programmé dès l'enfance et de peur du bouleversement salutaire.
Age: 59 Zodiaque: Signe Chinois: Inscrit le: 29 Juin 2004 Messages: 4894 Localisation: France
MON NOM EST PERSONNE
Même la violence a changé. Un coup de revolver ne suffit plus...
Amer constat prononcé par une gloire vieillisante de l'Ouest. Jacques Beauregard s'en va pour l'Europe, laissant un monde qui est en train de changer, où il n'a plus sa place. Le temps est à la nostalgie. Mais pas aux regrets, car l'histoire de Beauregard, c'est un peu celle du western italien en général : un mythe dont l'épilogue fut de toute beauté.
Nous sommes en 1973 et les productions transalpines commencent à connaitre le retour de flamme d'une décennie de folie pure, ponctuée de coups de flingues, d'airs lancinants, de poussière et d'anti-héros qui faisaient plus figure de fripouilles que de jeunes premiers. Le western spaghetti s'éteint peu à peu, enterré par le mouvement parodique. C'est alors que déboule Mon nom est Personne, film trop souvent relégué au simple rang comique qui n'est ni plus ni moins qu'un formidable passage de témoin entre deux générations. Au scénario, classique mais efficace histoire de vengeance, se greffe l'histoire d'un pistolero désabusé qui, au moment de raccrocher les flingues, se voit rattraper par un jeune admirateur bien décidé à le voir conclure sa carrière sur une dernière action d'éclat. Toute une symbolique pour désigner un genre en déclin, que l'on retrouve également dans le casting.
- Maintenant que tu m'as fait entrer dans l'histoire, comment vas-tu m'en faire sortir ?
- Facile. Tu vas mourir...
Henry Fonda, la légende, face à Terence Hill, le trublion. Le premier incarne la tradition, le bon vieux temps des Leone, des Corbucci, des personnages arides et des duels impitoyables sous le soleil. Le deuxième symbolise la nouvelle vague, la parodie, tout ces films où l'on préféraient user de la paire de claques plutôt que de la paire de colts. L'un va tuer l'autre, tout comme Trinita tua Django, Ringo et autres Hommes sans Noms.
Une école laisse la place à une autre. Pourtant il ne s'agit pas d'un vaine résistance mais bien d'une conclusion, d'une sortie : en celà, la scène où Beauregard en vieux lion fatigué chausse ses lunettes pour un ultime moment de bravoure, est représentative : les codes ne sont plus les mêmes, ils sont devenus obsolètes, les mythes sont dépassés. Une page se tourne, aussi sûrement que les duels se truquent...
- Quand j'étais petit, je jouais à être Jaques Beauregard
- Et maintenant ?
- Maintenant...je suis juste un peu plus prudent
Tonino Valerii à la caméra, Sergio Leone au scénario, Morricone aux partitions pour un film qui deviendra le chant du cygne du western spaghetti. Valerii joue à être Leone et nous livre quelques séquences extraordinaires, dont une ouverture digne de celle d'Il Etait une fois dans l'Ouest. Leone est prudent et truffe son script de pantalonnades, référence à cette mouvance qui sonne le glas d'un genre qu'il inventa lui même quasimment dix ans plus tôt. Mon nom est Personne est un film hybride, où le divertissement laisse place soudain à la mélancolie, au souvenir d'une époque révolue. Une ambivalence que l'on retrouve dans le personnage de Personne (Terence Hill), sorte d'Homme sans nom qui accumule les pitreries avant de se faire soudain grave et ambigü, tout comme les Inconnus à la gachette facile qui avant lui firent les beaux jours de Cinecitta.
Un film testament, certes, mais un film hommage avant tout.
- Sam Peckinpah...joli nom pour un Apache...
Difficile en effet de passer à côté des références et des clins d'oeils qui truffent Mon nom est Personne. D'Il Etait une fois dans l'Ouest à la Horde Sauvage de "Bloody Sam", c'est ici une musique, une situation, des scènes parfois qui viennent servir tout le message du film. Avant de terminer son livre, Leone nous en rapelle les grands chapîtres et laisse la conclusion à la nouvelle garde.
- Tu finiras dans les livres d'Histoire !
Beauregard s'embarque pour l'Europe. Personne devient une légende de l'Ouest. Comme le signalera Beauregard, lors de son long monologue final, c'est un rôle mérité, mais dangereux. A lui maintenant d'entretenir la flamme et d'attendre le jeune loup qui le fera sortir avec les honneurs _________________ they call me the breeze
Six ans après Pour Une Poignée de Dollars qui inventa le western spaghetti, ou tout du moins ses clichés, Sergio Leone remettait le couvert en 1969 avec cette ultime incursion dans le genre en tant que réalisateur, en profitant au passage pour entamer une nouvelle trilogie. Après les trois aventures de l'Homme sans Nom, la série non moins célèbre des Il Etait une fois... faisait son apparition, avec ses thèmes et ses partis pris. Il Etait une fois en Amérique, Il Etait une Fois la Révolution et ce qui nous intéresse aujourd'hui, Il Etait Une Fois dans L'Ouest marquent une sorte de rupture dans l'oeuvre de Sergio Leone. Des films souvent mélancoliques, réalistes, cassant les codes et les clichés. Il Etait une Fois La Révolution se présente ainsi comme une diatribe contre l'héroïsme de tout poil, où les idéaux ne valent rien. Avec Il Etait une fois dans l'Ouest, Sergio Leone réalise probablement ici son western le plus manichéen, le plus symbolique et à vocation la moins divertissante.
A film hors normes, équipe hors normes, c'est toujours flanqué de ses fidèles Sergio Donati (écriture) et Ennio Morricone (partitions) que Leone s'entoure entre autre de Bernardo Bertolucci, et d'un nom qui deviendra par la suite incontournable dans le monde de l'horreur et giallo : Dario Argento. Celui qui ne faisait pas encore partie des "maîtres italiens", trouvait ici l'une de ses premières expériences cinématographiques en co-signant avec les deux Sergio et le futur réalisateur du Dernier Empereur ce western en forme de contrepied. Contrepied car avec Il Etait Une fois l'Ouest, Sergio Leone envoie littéralement valser son propre héritage.
Le western spaghetti révolutionna une bonne partie des codes narratifs alors en vigueur dans ce genre tout ce qu'il y a de plus américain. Aux personnages loyaux et proprets s'opposaient désormais des hommes typés et poussiéreux qu'il valait mieux avoir sous la main que derrière soi. Des pistoleros qui dézinguaient la racaille par paquet de trois, traversant leurs films avec un sillage d'immortalité. Il Etait une Fois dans l'Ouest fait figure de grand chambardement, revenant quasiment aux sources du genre avec une approche beaucoup plus américaine et moins ambiguë que ses prédécesseurs. Tout débute par une longue scène d'intro. Dix minutes sans dialogues, rythmées par le grincement lointain d'une éolienne. Un début qui renoue avec une certaine forme de théâtre et qui hésite à se prendre au sérieux, s'attardant sur des détails aussi anodins qu'une mouche ou une petite fuite d'eau. C'est ici que nous ferons connaissance avec Harmonica, attendu par un trio patibulaire. C'est le moment pour ceux qui ont vu Pour une poignée de Dollars de se caler dans leurs fauteuils : la poudre va parler, et plutôt trois fois qu'une. Mais Leone n'a pas dit son dernier mot et ce qui apparaît comme une scène-signature devient soudain le vecteur de tout ce que développe le film. Harmonica s'effondre à son tour, touché par une balle perdue. Les héros ne sont que des hommes...
Mais qui sont-ils, ces hommes ? Ils s'appellent Harmonica, le Cheyenne et Franck. Et il y a bien sûr une femme. Dans les Westerns de Leone où s'affrontent des fripouilles couvertes de poussières avec petit rictus de circonstance, dire que peu de femmes ont leur place serait un doux euphémisme. Machisme à l'italienne ? Peut-être pas : Pour une poignée de dollars ne montrait-il pas un Clint Eastwood perdant de son aplomb face à une demoiselle en détresse ? Une scène troublante qui sera beaucoup mieux développée par Walter Hill dans Dernier Recours (qui n'est qu'une relecture du film dans les années 50), lorsque Bruce Willis se voit dire "tu tomberas à cause d'une dame". Quoi qu'il en soit, le personnage de Jill Mc Bain, incarnée par Claudia Cardinale, change la donne et s'impose finalement comme la véritable héroïne. Cet élément féminin permet de justifier tout le travail de déconstruction de Leone, apportant une sensibilité et une mélancolie qui deviendront caractéristiques de ses futures productions.
Mais l'autre point de rupture réside dans le personnage d'Harmonica. Clint Eastwood apparaissait comme l'anti John Wayne. Dans Il Etait une Fois dans l'Ouest, Harmonica se présente d'emblée comme l'anti Clint. Charles Bronson, qui à l'époque stagnait dans les seconds rôles (malgré des films prestigieux, comme Les 7 Mercenaires ou les 12 salopards), compose un personnage dur, peu loquace, mais vulnérable et habité par un but vengeur dont on ne découvrira le fin mot qu'à la fin du métrage. Personnage quasi-mystique, Harmonica n'est pas une gâchette facile, ne répondant pas aux provocations, comme le montrera la scène du petit bar où il fera sa première rencontre avec le Cheyenne. Sergio Leone sait très bien ce qu'attend son public et prend un malin plaisir à ne pas lui fournir ce qu'il veut, canalisant toute cette énergie pour soudain la lâcher dans le duel final, moment de splendeur où Harmonica tire son flingue une dernière fois le temps d'une scène culte. Harmonica se libère et Leone aussi, explosant sa mise en scène et osant les gros plans les plus extrêmes. Harmonica n'est pas ambigu, sait se montrer loyal et capable de sentiments lorsque sa mission terminée, il sort de sa carapace et s'en retourne à regrets.
Avec Jill et Harmonica, Leone développe un style de personnage qui ne lui était à première vue pas familier. Des personnages de durs aux pieds d'argile, désabusés et tragiques. Pourtant, il y a un protagoniste qui rappelle soudain l'école italienne et s'impose tel un trait d'union entre les deux approches : le Cheyenne.
Le Cheyenne dans la grammaire de Leone pourrait se rapprocher du Truand, du Bon, la Brute et le Truand. Bandit farouche, fine gâchette et fidèle en amitié, philosophe à ses heures, il partage avec le personnage d'Eli Walach un côté burlesque et le goût pour les petites phrases qui résument la vie. Le Cheyenne, pourtant cantonné en second rôle, se révèle être un personnage majeur. Tel le Prologue, ce faux personnage que l'on utilise en théâtre pour introduire tous les autres, le Cheyenne donne des noms et catalogue chacun, surnommant ses rencontres : "Harmonica" pour le mystérieux étranger, "fillette" pour Mme Mc Bain, "Taff Taff" pour M. Morton. Sans lui, Il Etait une Fois dans l'Ouest serait un film à Homme sans Nom plutôt qu'un film à... Hommes à surnoms. D'Harmonica on ne connaîtra jamais le patronyme. Le Cheyenne s'est autoproclamé ainsi. Jill Mc Bain, outre d'hériter du nom de son ancien mari est une ancienne prostituée, faisant apparaître le Jill comme un éventuel pseudonyme. Franck n'est qu'un prénom. Reste M. Morton, homme d'affaire crapuleux et rongé par la tuberculose. Comme Harmonica le laissera entendre, les hommes d'affaires apparaissent ici comme une sorte de race supérieure, ceci expliquant ce statut. Le surnom du Cheyenne le fera descendre de son piédestal pour le faire rejoindre le rang des hommes, dont il ne vaut pas mieux...
Pour ce personnage qui rappelle le mieux son ancien univers, Leone fait preuve également d'une étrange pudeur assez touchante. Ainsi, hormis une scène précise, on ne le voit jamais véritablement tirer sur quelqu'un, comme si Leone voulait le faire sortir de la violence. Sa première apparition débute par une fusillade dont on n'apperçoit rien et n'entend que le bruit. De quelques uns de ses autres coups de flingues, on ne verra que sa main. De sa mort et de son agonie, il en résultera une scène émouvante, jouant sur le suggestif, avant qu'il ne passe l'arme à gauche hors caméra après une dernière réflexion bien sentie, s'opposant par exemple à celles de Franck, que l'on voit souffrir et rendre le dernier râle en gros plan.
Et puisqu'on parle de Franck. Si le Cheyenne est une sorte de clin d'oeil aux premiers films de Leone, Franck retombe dans les volontés premières d'Il Etait une Fois dans l'Ouest. Pas d'ambiguïté non plus, Franck est une belle ordure, capable de tuer femmes et enfants. Il le fera d'ailleurs, et avec le sourire. Ce mercenaire vieillissant, porté par Henry Fonda et son regard d'acier, n'apparaît pourtant pas comme un surhomme. Il avouera sa condition lui-même, lors d'un dialogue avec Harmonica ("Un Homme, c'est tout"). La personnalité de Franck est un condensé de celles de Jill, Harmonica, le Cheyenne et de M. Morton, mais aussi de celle de Setenza (la Brute). Défourailleur, avide de puissance et jamais avare d'une remarque au sens profond, Franck sait se faire entendre et garder le silence. Pourtant son rôle est bien défini : violent, impitoyable et tout de noir vêtu, son camp est des plus explicites. Avec l'âge, comme le dira Harmonica, ses méthodes ont changé. Ce qui ne veut pas dire qu'il ait renoncé aux anciennes. Hitchcock disait que lorsque le méchant est réussi, l'histoire l'est tout autant. Indéniablement, Il Etait une Fois dans l'Ouest est réussi et Franck entra dans l'imagerie collective, au même titre qu'Harmonica. S'il y a des bédéphiles parmi vous, relisez l'album Phil Defer, de Lucky Luke, vous verrez de quoi je parle.
Film mettant en scène des Hommes et leurs travers, Il Etait Une fois dans l'Ouest est une histoire tordue et compliquée qui n'a finalement que peu d'importance. Ici l'accent est mis sur une certaine forme de mélancolie et une approche réaliste qui traduira les deux épisodes suivants des Il Etait une Fois.... Il n'y a guère que le personnage du Cheyenne, quelques scènes d'anthologie et bien sûr la superbe musique de Morricone pour passer le témoin entre les deux trilogies. A propos de Morricone, c'est sans doute dans ce film que l'on constate l'extraordinaire importance de l'environnement sonore chez Leone. Chaque personnage a son thème, tournant autour de ce qu'il représente. Mélopée distordue et implacable pour Harmonica (la vengeance), petit air incertain, allant du guilleret au mélancolique pour le Cheyenne (le mystère, l'amitié, un certain idéal de vie), lourdes sonorités feutrées pour Franck (le danger), musique triste pour Mme Mc Bain (l'amour perdu, la fin des illusions). Transporté par des acteurs extraordinaires et un réalisateur qui n'était pas loin du sommet de son art, Il Etait Une fois dans l'Ouest est une oeuvre épique et superbe, qui représente toujours la référence incontournable du Western Spagghetti, avec le Bon, la Brute et le Truand, Django de Corbucci et Keoma de Castellari (ce dernier, à la manière de Braindead pour le gore, étant tellement ultime qu'il aurait paradoxalement contribué à la mort du genre). Le thème de l'Homme à l'Harmonica est devenu indissociable du western et Charles Bronson, comme Eastwood à son heure, vit sa notoriété prendre un sacré coup de fouet. Devenu depuis cloîtré dans son image de Paul Kersay (un Justicier dans la Ville, 1974), Bronson et sa gueule burrinée nous quittèrent le 31 août 2003. Ce film, par sa performance magnifique, est l'occasion de se rappeler quel acteur il fut et quelle carrière il eut. Quant à Sergio Leone, il continua sur sa lancée. Il Etait Une fois la Revolution est un drame désabusé dont le final et le dernier sourire de James Coburn hantent sûrement plus d'un esprit. Il Etait une fois en Amérique, en forme d'apothéose, est le film qui lui permit enfin de sortir de l'approche western, triste et gonflé de scènes touchées par la grâce. La mort finit par l'emporter également, laissant son dernier projet vacant : une adaptation du Voyage au bout de la Nuit, de Céline...
"Hé, l'Harmonica... quand ton heure viendra... prie le ciel pour que ce soit un bon tireur qui te descende" - le Cheyenne _________________ they call me the breeze
J'ai une question tres simple , que preferez Ray charles ou Nas elghiwane ?
al ghiwane sans hesitation
suis nationaliste
non Nass al ghiwane avaient beaucoup d'avance malgré les moyens de bords
salut l'artiste !
desolé pour ce retard, j'aivais qlq empechement , mais t'inliete, je vais commencer bientot a ecrire le scénario, on fera ce film a tout moyen possible _________________ Ton coeur est libre,Trouves le courage de le suivre !
Avec : Denzel Washington, John Goodman, Donald Sutherland
Réalisateur : Gregory Hoblit
Année : 1998
Avant son execution, un tueur demande à voir le policier qui l'a arrêté. Le criminel lui sert la main, lui propose une énigme et se livre à des invocations dans une langue étrangère. Quelques jours plus tard, un meurtre est commis, le tueur laisse la même énigme...
un bon film que j'ai trouvé un grand plaisir de revoir hier soir chez moi _________________ PROVERBE CHINOIS
Il y a mille inventions pour faire parler les femmes, mais pas une seule pour les faire taire.
j'ai trouvé un grand plaisir à revoir ce week end les 3 parrains et aussi le roi des anneaux: c'est rare qu'on produit de telles oeuvres à la perfection sur tout les plans: scénario, mise en scène, effets scpéciaux et grands acteurs!
à voir et revoir tjrs avec plaisir et facination _________________ PROVERBE CHINOIS
Il y a mille inventions pour faire parler les femmes, mais pas une seule pour les faire taire.
Sexe: Age: 112 Zodiaque: Signe Chinois: Inscrit le: 27 Jan 2005 Messages: 4940 Localisation: Who cares
fatinouche a écrit:
j'ai trouvé un grand plaisir à revoir ce week end les 3 parrains et aussi le roi des anneaux: c'est rare qu'on produit de telles oeuvres à la perfection sur tout les plans: scénario, mise en scène, effets scpéciaux et grands acteurs!
à voir et revoir tjrs avec plaisir et facination
soubhana lah !moi aussi j'ai revu lords of the rings , les seigneurs des anneaux...
Un chef d'oeuvre. _________________ SANFIRO BI 7AYATIKOM - Baba Sanfour
Age: 59 Zodiaque: Signe Chinois: Inscrit le: 29 Juin 2004 Messages: 4894 Localisation: France
Mustang a écrit:
fatinouche a écrit:
j'ai trouvé un grand plaisir à revoir ce week end les 3 parrains et aussi le roi des anneaux: c'est rare qu'on produit de telles oeuvres à la perfection sur tout les plans: scénario, mise en scène, effets scpéciaux et grands acteurs!
à voir et revoir tjrs avec plaisir et facination
soubhana lah !moi aussi j'ai revu lords of the rings , les seigneurs des anneaux...
Un chef d'oeuvre.
moi aussi
hier soir, j'ai revu la seconde partie du seigneur des anneaux
Les deux tours
j'ai oublié de dire que je dormais chez fatinouche
_________________ they call me the breeze
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