Maroc

Portail Maroc

Comme Hollande, Sarkozy dénonce les banquiers et la spéculation Atlasvista Maroc
Recherche avancée

Maroc Annonces

Maroc Rencontres

Maroc Blogs

Actualité Actualité
Communauté Communauté
Pratique Pratique
Agenda
Agenda vide
Dossiers Dossiers
Horaires
Gare de Départ
Gare d’arrivée
Rencontres
Je suis
Je cherche
entre et

Fils RSS de AtlasVista
Fils RSS AtlasVista

 
Envoyer cette article à un(e) ami(e)
Votre nom :*
Votre E-mail :
E-mail du destinataire :*
Votre message :
Veuillez copier le code ci-contre : *
*champ obligatoire
Monde » Politique / Diplomatie Monde » Politique / Diplomatie
Comme Hollande, Sarkozy dénonce les banquiers et la spéculation
PARIS (AFP) - Nicolas Sarkozy s'est livré mercredi à une violente charge contre les banques qu'il a accusées de ne pas jouer leur rôle de financement de l'économie, deux semaines après le discours de son rival François Hollande désignant la finance comme son "adversaire".
"Nous avons les banques les plus importantes d'Europe, et quand il faut prêter de l'argent aux PME, c'est l'Etat qui doit créer Oseo (...) on se demande à qui les banques commerciales prêtent de l'argent", a déploré M. Sarkozy devant le 19e salon des entrepreneurs.

"Le rôle des banquiers dans la société, ce n'est pas de gagner beaucoup d'argent très rapidement, c'est de faire confiance à des entrepreneurs sur cinq ans, sur dix ans, sur quinze ans, de prêter de l'argent à cette entreprise au début et d'être associé à l'avancée de cette entreprise", a-t-il poursuivi.


"Le rôle d'un banquier, ce n'est pas d'entretenir une salle de marchés où des jeunes ultra-diplômés derrière des ordinateurs hyper-compétents parient sur une chose aussi intéressante que de savoir si la bourse va franchir les 2.000 points ou les 2.100 points", a insisté le chef de l'Etat, "franchement, ça on n'en a pas besoin, on a vu où ça conduisait le pays".

Nicolas Sarkozy a également dénoncé le rôle des banques dans la spéculation et des "bulles" immobilière et de l'internet passées. "Ce n'est pas normal, ce n'est pas juste, ce n'est pas acceptable et ce n'est pas ça le rôle qui est celui des banquiers au service de l'économie", a-t-il conclu sous les applaudissements d'un parterre de patrons.

Malgré ce discours, le président n'a pas manqué d'égratigner son futur rival socialiste dans la course à l'Elysée François Hollande.

"Je précise que ce ne sont pas mes ennemis. D'ailleurs, je ne vois pas ce que ça amène de dire un tel ou un tel est un ennemi. Si ça soulage celui qui le dit c'est très bien, mais ça ne fait pas avancer ou trouver de solution aux problèmes des autres", a-t-il remarqué.

Publié le: 01/02/2012 à 14:00:42 GMT Source : AFP
Envoyer l'article à un ami
Envoyer
Format PDF
PDF
Vesion imprimable
Imprimer
A lire aussi

» "Sans tricher", Eva Joly se livre dans une...

» Sondages: un duel Hollande-Sarkozy se confirme,...

» EXCLUSIF AFP - Bettencourt : Eric Woerth convoqué la...

» Séquestration à La Poste: Olivier Besancenot jugé en...

» Marine Le Pen courtise les outre-mer, mais doit renoncer...

Suite »

Sondage...
Emprunter l'identité d'une célébrité ou d'une personnalité politique sur des sites Web de réseau social (ex : Facebook) est selon vous:
 Une usurpation d'identité passible de peine de prison  
 Un acte tout à fait habituel et très répandu. Où est le mal ?  
© 2001- 2023 AtlasVista Maroc
Hébergement: Heberjahiz