whynot a écrit: |
La Charité
Si je le pouvais, je voudrais qu'on supprime toutes les religions car pratiquées comme elles le sont, je les trouve discriminatoires ! Je voudrais qu'on remplace tout ça par une seule chose : La Charité ! Si on était tous et toutes charitables, Dieu ne pourrait nous en être que reconnaissant. Je m'occupe de plusieurs associations pour déshérités et le temps consacrés à ces personnes défavorisées apportent , je pense, beaucoup plus que tous ce conflits qui durent depuis la nuit des temps au sujet de comment se conduire pour aller au Paradis. Ce n'est pas une prière en plus ou en moins, ce n'est pas s'habiller de telle ou telle façon, ce n'est pas non plus telle ou telle sexualité ou je ne sais quoi d'autres que Dieu retiendra le plus...s'il existe du moins. Séparons totalement politique et religion, séparons coutumes et traditions d'une vrai croyance, soyons sincères honnêtes et aidons notre prochain, je pense que c'est ça et uniquement ça l'important !!!! |
whynot a écrit: |
Sincèrement , je crois en un être supérieur et de tous mon coeur , je fais mon possible pour aider mon prochain au point d'y consacrer une grande partie de mon temps et même de mes finances...et j'adore le Maroc où je vais vivre...mais je trouve la Thora, la Bible et le Coran tellement rempli d'imperfections et d'anomalies que ces livres ne peuvent pas être d'inspiration divine, c'est impossible.
On me parle souvent du développement du foetus écrit dans le Coran et comment était il possible de savoir tout ça et bien sachez que le développement du foetus a été écrit pour la première fois par Galien (quelques siècles avant JC) et on retrouve dans le coran les mêmes erreurs que Galien, à savoir par exemple que le squelette se dévelopep avant la chair, ce qui est faux , bien sur ! Donc, le coran contient déja cette erreur... étrange étrange pour un livre parfait ? Donc cette partie du coran, erronée sur le plan scientifique (et c'est incontestable pour toute personne ayant posé un pied à l'Université) existait comme par hasard sous l'antiquité, sous une forme exactement identique!!!!! (elle a donc été reprise...) Egalement le mythe de Cousteau qui se converti, c'est toujours aussi marrant suite à sa lecture. D'un il ne s'est jamais converti (il a été enterré dans un cimetière chrétien) et de 2, sa "découverte" a été contredite... par lui-même quelques années après. Pareil pour la Bible et la Thora... On parle souvent de nombreux savants occidentaux convertis à l'Islam....j'aimerais bien avoir des noms car croyez-moi , en général ,ils sont athés... Les intellectuels arabes en général sont eux-mêmes athés !!! Ils ne le crient pas sur tous les toits bien sur mais discutez avec eux et vous le constaterez... Moi , j'ai envie de croire malgré tout mais force est de reconnaitre que tous ces écrits sont trop imparfait. En résumé les intellectuels vous expliqueront plus ou moins ceci : Un érudit allemand, Theodor Nöldeke, écrivit en 1860 l’histoire du Coran. Pour la première fois, les chercheurs s’interrogeaient sur la création de l’islam, en dehors des légendes musulmanes. (Geschichte des Quorans, Leipzig 1919). Force fut de constater que le Coran, loin d’être tombé du ciel, obéit à des règles de composition humaine, compilation laborieuse, réécritures permanentes, falsifications, mensonges, erreurs... Un autre érudit, Adoph von Harnack, affirma, dès 1874, que le « mahométisme n’est qu’une lointaine dérivation de la gnose judéo-chrétienne, et non une religion nouvelle ». Puis le français Gabriel Théry (sous le nom d’Hanna Zakarias) après trente ans d’études, conclut dans son ouvrage De Moïse à Mohammed que le Coran ne pouvait être l’œuvre de Mahomet. D’après lui, l’auteur était converti au judaïsme par son instructeur juif. Bruno Bonnet Eymard constata que les textes ayant servi à composer le Coran étaient d’origine et d’inspiration syrienne. Après 1950, le père Bertuel confirma ces recherches. Il publia L’islam, ses véritables origines (Nouvelles Editions latines, Paris 1981). D’après lui, Mahomet est un rabbin chassé d’Edesse par Héraclius, en 628. « Qui a prononcé ces paroles ? demande Bertuel. Ni Allah bien entendu, ni Mhmt (Mahomet), mais des paroles si profondément enracinées dans le judaïsme n’ont pu être prononcées que par un Juif authentique. Tout historien est conduit à cette conclusion : un Juif s’agite à La Mecque. Il se présente aux Arabes comme le Prophète de Dieu… Quel serait de plus cet Allah qui ne révélerait aux Mecquois que les plus vieilles doctrines de l’Ancien Testament ? » Bertuel ajoute : « Le seul livre de religion qui existera à jamais pour les Juifs est le Coran (recueil explicatif) hébreu, la Thora de Moïse, guide de vérité et de justice. Yahvé en est l’auteur. Moïse n’est ni un djinn, ni un devin, ni un poète. Dieu lui est apparu. Il a parlé à son serviteur. Gloire à Yahvé ! La grande nouveauté du livre arabe, c’est qu’il ne contient précisément rien de nouveau. C’est un livre du passé… chacune de ses affirmations et même les détails de ses descriptions peuvent être facilement rattachés à un texte biblique… C’est tout un plan de conversion (au judaïsme) ». Beaucoup de travaux insistent sur le sabéisme de l’époque. D’autres mettent l’accent sur le nombre élevé de mots persans et syriaques dans le Coran. On peut lire à ce sujet Pourquoi je ne suis pas musulman, d'Ibn Warraq (L'Age d'Homme, Lausanne 1999) Hassan Abassi, dans Les secrets de l'islam, cite les experts musulmans recensant des milliers de différences entre les différents corans. Patricia Crone, auteur avec Michaël Cook de Hagarism, The making of the islamic world, déclare : « La tradition fondamentalement historique, à laquelle (les conteurs) sont supposés avoir ajouté simplement leurs fables, n’existe pas. Vu qu’un conteur en suivait un autre, le souvenir du passé se réduisait à un stock commun d’histoires, de thèmes et de motifs propres à être combinés ou recombinés dans une profusion de faits apparents. Chaque combinaison et recombinaison créait alors de nouveaux détails, et, dans la mesure même où des informations fausses s’accumulaient, de l’information authentique était perdue. ». Patricia Crone a aussi publié Meccan trade and the rise of islam, démontrant que le berceau de l’islam ne peut avoir été La Mecque. D’après elle, l’existence de La Mecque est très incertaine, avant que les califes n’en fassent un centre de pèlerinage. Ces deux auteurs, Crone et Cook, considèrent que l’histoire islamique au moins jusqu’à Al-Malik (mort en 705) est une invention tardive. Michaël Cook signale les similarités entre les croyances musulmanes et celles des Samaritains, concernant la religion d’Abraham, dans l’ouvrage intitulé Le livre des Jubilés (daté de –140 à –100 avant J.C.) Antoine Moussali estime que le Coran n’était que le lectionnaire, en araméen, d’une secte judéo-nazaréenne, au début du VIIe siècle (La croix et le croissant, Editions de Paris, 1998) "Comme tout le monde, écrit-il dans Vivre avec l'islam (Saint-Paul, 1997), j'ai longtemps pensé que le Coran était une source sérieuse pour la connaissance de l'islam. Aujourd'hui je serais nettement moins affirmatif. L'islam lui est fondamentalement antérieur.". Dans son ouvrage Le Coran, la Bible et l'Orient ancien, Mondher Sfar souligne que les noms attribués à Allah sont recopiés des noms attribués au dieu babylonien Mardouk, dans un poème datant du 12ème siècle avant J.C. Il rapporte aussi que les descriptions du paradis et ses raisins blancs (traduits faussement par "houris vierges" lors de la traduction du Coran en arabe) concernent le roi Assourbanipal, sur un bas-relief datant de huit siècles avant J.C. Dans Le Coran est-il authentique ?, il rappelle que nombre de sourates du Coran étaient dites par le calife Omar, puis confirmées par Allah. Le fils d'Omar déclare : "Omar avait une vision et alors le Coran descendait selon celle-ci... Personne ne pourra dire : j'ai eu le Coran dans sa totalité." Dans A la recherche de Muhamad, Grégoire Félix évoque un manuscrit syrien de 874, où l'émir des Hagarènes (descendants d'Agar, mère d'Ismaël) se refère à la Thora en hébreu, et non au Coran. Alfred-Louis de Prémare, dans Les fondations de l'islam (Le Seuil), évoque la charte de Médine, datée en réalité de 830, et pourtant rédigée par Muhammad le prophète. Il rappelle que tout ce qui concerne l'islam et l'existence de La Mecque date de 250 ans après les "faits." Il explique aussi que la bataille du Fossé eut lieu en 688 en Syrie et non à Médine, soit cinquante ans après la mort officielle de Mahomet. Il rappelle "qu'on déchire et brûle régulièrement dans cette histoire perturbée du Coran." De plus, les caravanes ne passaient plus par la région de La Mecque depuis des siècles : tout ce qui concerne le temple aux 360 idoles est faux historiquement (et c'est faux spirituellement, comme le savent tous les spécialistes de spiritualité). Dans son livre Les Arabes n'ont jamais envahi l'Espagne (Flammarion), Ignacio Olaguë explique que Mahomet donne encore des ordres en 855. Ce qui confirme que Mahomet était devenu le surnom de tous les chefs de tribu. Cela explique les différents noms attribués à Mahomet : Mahomet Mohamet Muhammad Mohamed Mohammed Muhammed Momet Maomé Mahometo Maometto Mahometa... Dans leur livre La Bible dévoilée, les nouvelles révélations de l'archéologie, (Bayard) Israël Finkelstein et Neil Silberman rappellent que la Bible est quasiment entièrement fausse d'un point de vue historique. Donc a fortiori on en déduit que le Coran, évoquant sans cesse Moïse et le Pharaon noyé, et d'autres légendes bibliques, est encore plus faux. De nombreuses traductions mésopotamiennes démontrent que la plupart des mythes bibliques datent de plusieurs milliers d'années avant les Hébreux. On peut lire L'épopée de Gilgamesh, traduite par Jean Bottéro (Gallimard) et L'histoire commence à Sumer, de Samuel Kramer (Flammarion). Le Dr Gerd-Rüdiger Puin, professeur à l’université de Sarrebrück (Allemagne) traducteur du Coran de Sanaa, évoque les évolutions du texte dans Die Syro-Aramaische Lesart des Koran, Christop Luxenberg, (Verlag Hans Schiler) « Puin a remarqué que les parchemins étaient des palimpsestes, c’est-à-dire des manuscrits dont on a effacé le texte initial pour pouvoir en écrire un nouveau…. Le Coran de Sanaa a été rédigé sans aucune marque diacritique (points, accents, cédilles portant sur une lettre ou un signe phonétique pour en modifier la valeur), sans voyelles ni aucun guide pour la lecture. » Observations on Early Quran Manuscripts in San’a. Stefan Wild (ed), The Quran As Text, Leiden/New York/Köln (E.J. Brill) 1996 p. 107-111. Il l’a traduit à partir de l’araméo-syriaque, ce qui donne un texte exprimant beaucoup plus la spiritualité que le Coran arabe. (On trouvera quelques exemples du vrai Coran dans Un Juif nommé Mahomet.) En outre, les spécialistes sont affirmatifs : la langue arabe n’a pas pu naître du dialecte hédjazien (de l’oasis de Taïf à côté de la vallée de la Mecque). Les divers corans n’ont pu être traduits en arabe qu’après le IXe siècle. Non seulement le Coran n’a pas pu être dicté à La Mecque (ville qui n'existait pas à cette époque), mais il n’a pas été dicté en arabe. Mathématiquement impossible ! L’islamologue Jacqueline Chabbi estime que le Coran a été compilé sous le calife Abd Al-Malik, à Damas, au début du VIIIe siècle (époque d’Hajjâj). Les plus anciens corans existants sont ceux du Yémen, découvert en 1972, celui de Topkapi (Istanboul), fin du VIIIe ou début du IXe siècle. Un autre exemple se trouve à la British Library à Londres, datant de la fin du VIIIe siècle, soit cent cinquante ans après l’hégire. J. Wansbrough a étudié les origines samaritaines du Coran, dans Quranic Studies, Oxford, 1977, et The Sectarian Milieu, Oxford, 1978. Il a montré que le texte définitif du Coran n’était toujours pas achevé au IXe siècle. Il en déduisit qu’une origine arabe de l’islam était hautement improbable. Il note aussi l’absence de toute référence au Coran dans le Fiqh Akbar I, document daté du milieu du VIIIe siècle, représentant pourtant l’orthodoxie dogmatique. Il ajoute que le Coran est « le produit d’un développement organique de traditions originellement indépendantes, au cours d’une longue période de transmission. » Goldziher, dans On the Development of Hadith déclare « qu’un vaste nombre de hadiths, acceptés même dans les recueils musulmans les plus rigoureusement critiques, sont des faux complets de la fin du VIIIe et du IXe siècle, et qu’en conséquence, les chaînes de transmetteurs méticuleux qui les étayent sont totalement fictifs. » Soyons avant tout humaniste et charitable, j'en reviens toujours à ça |