Parmi les troubles gynécologiques dont souffrent les femmes durant leur flux menstruel, on cite les règles douleureuses qui présentent un véritable malaise pour l'ensemble des femmes qui en sont victimes.
En effet, pour la pluprat ce problème peut s'avérer handicapant puisqu'il entraine l'absence du mileu scolaire chez la jeune fille et du travail chez la femme. De plus, en cas de complications ca peut évoluer en détresse psychologique, en anxiété et meme en dépression.
Puisque j'en fait l'expérience presque chaque mois durant mes règles, je me rends compte de la gravité de ce problème, et je souffre comme c'est le cas de pas mal de filles sur ce forum du pénible et éprouvant mal qui en suit. C'est la raison pour laquelle je voudrai présenter quelque informations sur ce sujet, qui j'espère pourront etre bénifiques... _________________ S' il en demeure dix, je serai le(a) dixième et s'il n'en reste qu'un, je serai celui(le)-là!!!
Les douleurs pelviennes ( relatives au pélvis = bassin ) qui surviennent au moment des règles sont également appelées "dysménorrhées". Quand elles apparaissent à l'adolescence, on parle de dysménorrhées primaires et quand elle surviennent vers la trentaine, on parle de dysménorrhées secondaires.
Le terme dysménorrhée désigne les difficultés menstruelles en général, on l’utilise communément pour parler des douleurs au bas de l’abdomen qui précèdent ou accompagnent les règles.
Le terme algoménorrhée est plus exact. D’une façon comme d’une autre, il s’agit ici des crampes menstruelles douloureuses et des sensations pénibles dont font l’expérience à répétition de nombreuses jeunes filles et femmes. _________________ S' il en demeure dix, je serai le(a) dixième et s'il n'en reste qu'un, je serai celui(le)-là!!!
Des douleurs sourdes ou spasmodiques (avec des élancements) dans le bas de l’abdomen, qui débutent un peu avant les menstruations et persistent durant quelques jours. ==> c'est le cas général.
Parfois, les douleurs irradient jusqu’au bas du dos et à l’intérieur des cuisses.
Dans les cas plus graves :
Une sensation de malaise général, de faiblesse.
Des maux de tête.
De la diarrhée.
Des nausées et des vomissements. _________________ S' il en demeure dix, je serai le(a) dixième et s'il n'en reste qu'un, je serai celui(le)-là!!!
Avoir un surplus de poids ou être obèse.
Fumer.
Boire de l’alcool durant les menstruations.
Être anxieuse, stressée ou en détresse psychologique.
Manquer d’exercice.
Porter un dispositif intra-utérin (le stérilet), à l’exception d'un stérilet contenant un progestatif qui, au contraire, peut diminuer significativement les douleurs menstruelles. _________________ S' il en demeure dix, je serai le(a) dixième et s'il n'en reste qu'un, je serai celui(le)-là!!!
Les douleurs présentes dans les dysménorrhées primaires sont très souvent dues à un excès de prostaglandines, qui provoque des contractions utérines. En effet, Les prostaglandines sont des messagers cellulaires de type hormonal qui ont des effets puissants, multiples, variables et souvent antagonistes sur les fonctions biologiques. Elles participent notamment à la régulation du tonus des vaisseaux sanguins et aux réactions inflammatoires, agissent sur le système reproducteur, stimulent les contractions utérines et jouent un rôle crucial dans le contrôle des douleurs menstruelles.
Les prostaglandines sont des substances sécrétées dans les artères qui jouent un rôle de médiateur dans l’activité des cellules et au cours de nombreux processus comme la contraction de l’utérus Lorsque les règles arrivent, l’utérus doit évacuer le sang et les muqueuses, et le fait par des contractions. C’est son mode d’expulsion : il se met en boule, se contracte, devient dur. Les douleurs sont donc provoquées non pas par les ovaires mais par l’utérus qui se met en boule et devient extrêmement dur. _________________ S' il en demeure dix, je serai le(a) dixième et s'il n'en reste qu'un, je serai celui(le)-là!!!
Là vient la partie de ma recherche que j'ai aimé... Etonnant mais enrichissant ...
Commencons par le STRESS:
Les hormones du stress, la fameuse adrénaline et le fameux cortisol causent la production de prostaglandines pro-inflammatoires qui sont à l’origine des dysménorrhées.
Les filles gérez votre stress, intégrer à votre mode de vie des méthodes comme la massothérapie, le yoga ou la méditation... Pas évident peut etre mais il faudra essayer _________________ S' il en demeure dix, je serai le(a) dixième et s'il n'en reste qu'un, je serai celui(le)-là!!!
Vous avez devinez la gestion du stress seule ne suffit pas Il faudra éliminer toute source de prostaglandines et donc adopter une alimentation équilibrée qui réduit au maximum la production de prostaglandines pro-inflammatoires.
Réduire sa consommation de sucres raffinés. Les sucres entraînent une surproduction d’insuline et l’excès d’insuline favorise la production de prostaglandines pro-inflammatoires.
Consommer d'avantage de poissons gras (saumon, sardines), d’huile et de graines de lin, ainsi que d’huile et de graines de chanvre, qui sont des sources importantes d’oméga-3. Certains experts affirment qu’une alimentation riche en oméga-3 aide à réduire les douleurs menstruelles en raison de leur activité anti-inflammatoire.
Manger moins de margarine et de graisses végétales, qui sont des sources de gras trans à l’origine des prostaglandines pro-inflammatoires.
Éliminer les viandes rouges , qui ont un contenu élevé en acide arachidonique (un acide gras à la source de prostaglandines pro-inflammatoires).
Vérifier avec l’aide d’un nutritionniste la présence d’une carence en vitamine C, vitamine B6 ou en magnésium. Ces micronutriments seraient indispensables au métabolisme des prostaglandines et leur carence causerait l’inflammation.
Éviter de boire du café lorsque les douleurs sont présentes. Au lieu d’évacuer la fatigue et le stress, le café augmentera plutôt les douleurs puisque ses effets sur le corps s’apparentent à ceux du stress. _________________ S' il en demeure dix, je serai le(a) dixième et s'il n'en reste qu'un, je serai celui(le)-là!!!
Se reposer et éviter les situations stressantes lorsque les menstruations approchent. ( OUI BIEN SUR )
Prendre un bain ou une douche chaude.
Placer un coussin chauffant ou une bouillotte sur l’abdomen ou la partie inférieure du dos.
Faire des exercices légers comme, par exemple, des étirements, de la marche ou de la bicyclette. _________________ S' il en demeure dix, je serai le(a) dixième et s'il n'en reste qu'un, je serai celui(le)-là!!!
Les douleurs menstruelles sont généralement soulagées par l’usage d’anti-inflammatoires non stéroïdien (AINS), dont l’effet est d’entraver la formation des prostaglandines pro-inflammatoires.
Les AINS inhibent la cycloxygénase et donc bolquent la synthèse des prostaglandines.
Ils sont utilisés dès l’apparition des symptômes, et ce, pendant deux ou trois jours. Ils soulagent les douleurs causées par les contractions utérines ainsi que les maux de tête, les nausées et la diarrhée. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens peuvent causer des effets secondaires, dont les plus fréquents sont des brûlures d’estomac, de la diarrhée, des douleurs abdominales et des maux de tête.
En plus des AINS, le traitement comporte aussi des analgésiques et des antispasomdiques.
On peut aussi atténuer les symptômes en prenant un contraceptif oral, qui empêche l’ovulation, réduit la production des prostaglandines et réduit le flux menstruel.
Une autre option est de porter le stérilet Mirena. Il s'agit d'un dispositif intra-utérin recouvert d'un progestatif. Il s'insère dans l'utérus comme un stérilet. En plus d'être contraceptif, il réduit significativement les menstruations et les douleurs. Il ne doit être changé qu'aux cinq ans. _________________ S' il en demeure dix, je serai le(a) dixième et s'il n'en reste qu'un, je serai celui(le)-là!!!
salut douida
j'aime bien que le gents s'interesse comme meme à ce qui se passe dans leur corps ou de touts ce qu'ils ont comme souffrance.à savoir la dysménorrhée dont souffrent plusieurs filles voire plusieurs femmes (meme mariés) bon je ne suis pas concerné en tant que homme et aussi medecin je connait ça mais comme meme c'est un plaisir de voir des gents qui essaye de consacrer un peu de leur temps pour illustrer des situation surtout celles de la santé humaine qui concerne pas mal de personnes il faut perseverer et occuper ton temps pour ramener des biens à tes freres et soeurs bon courage et bonne chance.mais j'ai juste un petit point à eclaircir c'est toute femme ayant des dysménorrhées doit comme meme voire son medecin pour un bilan biologique et radiologique pour eliminer certains pathologies et comme ça s'assurer que c'est juste des dysmenorrhées physiologiques.
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pour moi c'est PONSTYL FORT* mais ca va venir j'arrive ...
Une sensation de malaise général, de faiblesse.
Les filles gérez votre stress, intégrer à votre mode de vie des méthodes comme la massothérapie, le yoga ou la méditation... Pas évident peut etre mais il faudra essayer 
Il faudra éliminer toute source de 
, qui ont un contenu élevé en acide arachidonique (un acide gras à la source de prostaglandines pro-inflammatoires).
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