Valblasef Merci. Tu me pousses à dévoiler un autre tableau que je ne cesse de dévisager: lancer un regard profond d’admiration au ciel qui forme une autre de mes passions. Je ne peux arrêter de flirter avec lui. Comment ne pas en prendre conscience surtout qu’il si est gigantesque, énigme, fabuleux et si splendide. C’est une autre beauté qui me charme et me séduit. Cet amour ou attraction a débuté depuis que j’étais encore enfant. Je sortais souvent à notre jardin pour observer les formes ou allures des nuages qui passaient, je me disais où vont elles? Trouvent elles des places plus attirantes que chez nous? Je contemplais leur lenteur de se déplacer. Je me posais des questions sur sa couleur bleue que j’aimais quand il faisait chaud et sur sa couleur grise que je n’aimais pas quand il pleuvait. Jusqu’aujourd’hui, je ne peux m’empêcher de lever mes yeux en haut pour scruter la brillance de ses diamants qui le rend fier de sa sublimité quand il est obscur partout dans mon monde en bas. Je ne peux arrêter de dévisager ses bijoux visibles mais intouchables, ses étoiles lointaines qui apparaissent quand le soleil nous quitte avec sa chaleur et le jour avec sa lumière. Comme si le ciel me dit, ne t’en fais pas, je suis toujours généreux et pérsévérant à te séduire. Si je te prive d’un grain de beauté, c’est juste pour te montrer l’autre que je détiens. Je ne peux arrêter de contempler ses étincelles comme si elles me disent qu’elles sont là pour illuminer ma nuit, pour me faire compagnie m’incitant ainsi à voyager dans une autre rencontre avec mon spirituel. C’est comme de la musique insonore que le ciel me met en disposition pour matérialiser un peu de romantisme que mon coeur réclame, un peu de bonheur que mon âme exige et un peu de lumière que mon esprit recommande. C’est un autre charme divin qui me laisse me poser autant de questions. Quand je voyage par train, j’admire la nature mais aussi ce ciel qui la couvre d’en haut. Je me dis que c’est le toit de notre maison terrestre avant d’aller à celle d’en haut. Quand je voyage par avion, je découvre que je vole entre les nuages et au dessus des nuages et que le ciel est encore beaucoup loin et beaucoup plus grandiose et intense. Je me dis que c’est une couverture divine qui nous laisse à penser combien l’être humain est faible devant la force de notre Dieu le tout puissant. Que la technologie humaine quoi qu’elle en fasse, notre savoir restera toujours minime et toujours négligeable devant le savoir de notre créateur qui a créé le vaste univers avec ses planètes et son cosmos. Au coucher du soleil, je me précipite parfois pour aller faire adieux au jour qui livre sa place à la nuit. Le ciel pendant ce changement de temps prend sa couleur rouge comme s’il est timide et se désole du fait qu’il doit me priver de sa beauté diurne et en même temps me sourit du fait qu’il allait m’exalter l’attrait de son autre beauté nocturne. Cette rougeur n’est qu’une sorte de modestie de sa part du fait qu’il est conscient de sa grande beauté et de son autre attrait qu’il allait exposer: sa lune qui va compléter le spectacle et qui va me réchauffer autrement, m’éblouir autrement et m’inciter autrement à se poser des questions philosophiques sur la vie et sur l’au delàs comme tu l’as dit. Soubhana Allah.
Elchegdali merci
J'ai vu ton profil et j'ai appuyé sur l'indication de tous tes messages. Après ceux adressés à moi, je trouve ceux là.
Voici l'argument. Tu aimes la nature. Tu es incapable d'aimer un homme de donner cet amour à un sexe mâle. Tu es une femme froide, tu as peur de te soumettre à ton coeur et tu pars aimer le ciel et les étoiles. Je connais ton genre et je ne les aime pas. Détache toi de ce complexe
Sexe: Age: 63 Zodiaque: Signe Chinois: Inscrit le: 24 Sep 2006 Messages: 864 Localisation: Là où existe la libre pensée
Salut! Je suis de retour mais je ne trouve pas encore mes marques.
Pour répondre à votre question, je trouve qu'il y a mille et une façon de goûter la vie. Cela dépend de la psychologie de la personne, de son éducation, de son environnement, de ses attentes et plein d'autres facteurs.
Chacun est libre d'avoir une façon bien particulière à lui de goûter la vie et on n'a pas à procéder à des jugement de valeur concernant cela. _________________ Que sait du désert celui qui ne regarde qu'un grain de sable ?
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Voici l'argument. Tu aimes la nature. Tu es incapable d'aimer un homme de donner cet amour à un sexe mâle. Tu es une femme froide, tu as peur de te soumettre à ton coeur et tu pars aimer le ciel et les étoiles. Je connais ton genre et je ne les aime pas. Détache toi de ce complexe
«Celui qui sait qu'il ne sait pas, éduque le. Celui qui sait qu'il sait, écoute le. Celui qui ne sait pas qu'il sait, éveille le. Celui qui ne sait pas qu'il ne sait pas, fuis le»
J'ai vu ton profil et j'ai appuyé sur l'indication de tous tes messages. Après ceux adressés à moi, je trouve ceux là.
Voici l'argument. Tu aimes la nature. Tu es incapable d'aimer un homme de donner cet amour à un sexe mâle. Tu es une femme froide, tu as peur de te soumettre à ton coeur et tu pars aimer le ciel et les étoiles. Je connais ton genre et je ne les aime pas. Détache toi de ce complexe
«Celui qui sait qu'il ne sait pas, éduque le. Celui qui sait qu'il sait, écoute le. Celui qui ne sait pas qu'il sait, éveille le. Celui qui ne s
ait pas qu'il ne sait pas, fuis le»
On va pas s'entendre sur le thème amour. Basta.
Discutons sur autre chose.
Donne moi ton optique sur mon thème.
Je l'attends
jè pa 1 facon je chome je ss tt le temps fi dar je rencontre mon homme 3 fois/semaine , cè derniers semaines , on se dispute bla kiass , je chate av des hommes , mamaamrinchli laayne , kifach ndouaz ouakti onsa hmomi , sport cè cher jè que internet
ikhzit tfo gal lik facon de vivre , pas fikhmissate mdina tkanate
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Merci. Tu me pousses à dévoiler un autre tableau que je ne cesse de dévisager: lancer un regard profond d’admiration au ciel qui forme une autre de mes passions. Je ne peux arrêter de flirter avec lui. Comment ne pas en prendre conscience surtout qu’il si est gigantesque, énigme, fabuleux et si splendide. C’est une autre beauté qui me charme et me séduit. Cet amour ou attraction a débuté depuis que j’étais encore enfant. Je sortais souvent à notre jardin pour observer les formes ou allures des nuages qui passaient, je me disais où vont elles? Trouvent elles des places plus attirantes que chez nous? Je contemplais leur lenteur de se déplacer. Je me posais des questions sur sa couleur bleue que j’aimais quand il faisait chaud et sur sa couleur grise que je n’aimais pas quand il pleuvait. Jusqu’aujourd’hui, je ne peux m’empêcher de lever mes yeux en haut pour scruter la brillance de ses diamants qui le rend fier de sa sublimité quand il est obscur partout dans mon monde en bas. Je ne peux arrêter de dévisager ses bijoux visibles mais intouchables, ses étoiles lointaines qui apparaissent quand le soleil nous quitte avec sa chaleur et le jour avec sa lumière. Comme si le ciel me dit, ne t’en fais pas, je suis toujours généreux et pérsévérant à te séduire. Si je te prive d’un grain de beauté, c’est juste pour te montrer l’autre que je détiens. Je ne peux arrêter de contempler ses étincelles comme si elles me disent qu’elles sont là pour illuminer ma nuit, pour me faire compagnie m’incitant ainsi à voyager dans une autre rencontre avec mon spirituel. C’est comme de la musique insonore que le ciel me met en disposition pour matérialiser un peu de romantisme que mon coeur réclame, un peu de bonheur que mon âme exige et un peu de lumière que mon esprit recommande. C’est un autre charme divin qui me laisse me poser autant de questions. Quand je voyage par train, j’admire la nature mais aussi ce ciel qui la couvre d’en haut. Je me dis que c’est le toit de notre maison terrestre avant d’aller à celle d’en haut. Quand je voyage par avion, je découvre que je vole entre les nuages et au dessus des nuages et que le ciel est encore beaucoup loin et beaucoup plus grandiose et intense. Je me dis que c’est une couverture divine qui nous laisse à penser combien l’être humain est faible devant la force de notre Dieu le tout puissant. Que la technologie humaine quoi qu’elle en fasse, notre savoir restera toujours minime et toujours négligeable devant le savoir de notre créateur qui a créé le vaste univers avec ses planètes et son cosmos. Au coucher du soleil, je me précipite parfois pour aller faire adieux au jour qui livre sa place à la nuit. Le ciel pendant ce changement de temps prend sa couleur rouge comme s’il est timide et se désole du fait qu’il doit me priver de sa beauté diurne et en même temps me sourit du fait qu’il allait m’exalter l’attrait de son autre beauté nocturne. Cette rougeur n’est qu’une sorte de modestie de sa part du fait qu’il est conscient de sa grande beauté et de son autre attrait qu’il allait exposer: sa lune qui va compléter le spectacle et qui va me réchauffer autrement, m’éblouir autrement et m’inciter autrement à se poser des questions philosophiques sur la vie et sur l’au delàs comme tu l’as dit. Soubhana Allah.
