C juste un peu avant le couher du soleil ou je sors dans le jardin pour arroser les plantes , y'a une odeur de terre mouiller qui emane après , et z'adore ca !! ^^ _________________ Why does life keep teaching me lessons
I have no desire to learn !!
Cmoi z'adore ce que tu adores : J'aime aussi sentir l'odeur de la terre quand elle est humide surtout quand il pleut. C'est ce que j'appelle le parfum terrestre bio et naturel. Le parfum maritime est aussi à révéler, quand le vent qui vient des vagues te caresse le visage et te parfume avec son odeur salée et tellement douce. z'adore aussi. La nature nous offre plein de jouissances. Il faut seulement apprendre comment s'en servir et aimer.
fadwaleteincelle ---> En fait qd ta evoqué la mer, ca m'a rappeler une histoire !! ^^
Comme j'aime enormement la mer , je ressens un grand soulagement de voir un vaste espace bleu. Donc souvent je vais faire un peu de marche sur le bord de la plage, seulement voila attiré par les vagues je me mettais de plus en plus près des vagues et a un moment ploussh, j'i une vague qui me tombe directe sur mes baskets !!!
J'ai du refaire tout le trajet avec des baskets mouillés !! (et il fesait froid en plus )
elChegdali --> c une expression que j'utilise !!! _________________ Why does life keep teaching me lessons
I have no desire to learn !!
un pensée pour celles qui aiment sentir l'air de la mer. cet après-midi j'y étais. j'étais dégouté de voir le nudisme sur une plage publique sa faisait longtemps que j'avais pas vu une plage et apart le coté mer et son air frais, le reste je m'en passerais bien....
Quand je pars à la mer, c’est pour admirer son ampleur, c’est pour détecter de nouveau l’horizon, c’est pour écouter la symphonie des vagues, c’est pour sentir de l’air frais loin de la pollution de la ville, du vacarme de la circulation et celui des Hommes, c’est pour nager et caresser ce charme divin quand il n’y a personne, c’est pour me réchauffer sur le sable doré, c’est pour respecter la puissance de Dieu qui nous a béni avec une telle beauté, c’est pour penser et méditer, une sorte de rencontre spirituelle avec le grand puissant et moi même. J’appelerai cette rencontre le yoga maritime pour mon psychique et mon corps. Aller à la mer ne doit pas être obligatoirement pris comme une sorte de voyeurisme ou d’exhibitonnisme. La mer a aussi un charme quand il fait nuit. Je m’imagine dans une terasse le soir à la côte de Casa entrain de prendre une boisson tout en ressentant le vent salé qui provient de la turbulence des vagues, tout en flairant l’odeur du composant principal de l’eau de mer. C’est belle comme sensation. La mer est un autre monde plein de mystères. Quand je me trouve dans un bâteau quittant Aljajiras en direction le Maroc, je ne peux m’empêcher de contempler la vue lointaine de la terre espagnole delaquelle on est séparé par des kilomètres d’océan tout bleu, tout profond, tout énigme et tout calme. Je ne peux remercier Dieu pour cette merveille que la science est encore entrain de découvrir, je ne peux répéter Soubhana Allah pour cette équilibre physique qu’on ne peut nous créer nous même. Quand je suis au bord de la mer, je peux me contenter uniquement des touchers des petites vagues qui se précipitent pour venir me mouiller les pieds en me montrant de la sorte leur chaleureuse salutation. Je me dis que c’est la manière de la mer pour me dire son bonjour et la bien venue. Quand je suis au bord de la mer, je peux me contenter de m’assoir sur un rocher et m’emerveiller de la danse des grandes vagues. C’est ma façon de sentir combien Dieu est fort et combien l’être humain est faible. C’est la perception dont je parle, c’est le sentiment qui vit en moi en l’instant et non le comportement des humains qui savoure le soleil, leur nudisme ou quoi que ce soit. Je ne pars plus aussi souvent à la plage et c’est malheureux surtout au Maroc où on ne peut plus déguster sa tranquilité et sa sérénité. J’aimais nager depuis mon enfance et je l’excellais mais avec le temps, je m’y abstiens dans des lieux publics. C’est vrai que je ne peux plus recourir à cette passion sans prendre plusieurs facteurs en considération mais personne ne peut m’empêcher de faire des poésies sur la mer et de l’adorer pour de bon, au moins d’aller la saluer une fois par an sans la caresser.
Tu parles merveilleusement bien de la mer et je partage tout à fait ton avis. Je peux aussi rester des heures assise à contempler les vagues.
Lorsque je regarde le ciel j'ai souvent un sentiment inexpliqué de grand bonheur et d'espoir qui m'envahit. "Comme si tout n'étais pas perdu". Comme si de l'au delà, on me lançait un message d'espoir.
Je ne vis malheureusement pas près de la mer et pour bénéficier au maximum de sa beauté, j'ai décidé de ne plus partir en vacances en été. Je préfère laisser passer la vague de touristes qui poluent l'air iodé avec leur huiles solaires, la friture des beignets.... et j'en passe !
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