Trois spécialistes répondent : la chercheuse Marie Choquet*, le professeur Michel Reynaud ** et l'alcoologue Jean-Paul Jeannin***
Les jeunes d'aujourd'hui boivent-ils réellement plus ? Non, la consommation globale d'alcool des jeunes semble stabilisée depuis quelques années. Mais les moins de 25 ans, tous milieux sociaux confondus, boivent beaucoup plus d'alcools forts dans un but affiché : la recherche d'ivresse. Depuis quinze ans, le nombre d'ivresses a augmenté de 30% dans cette tranche d'âge. Le modèle latin (la consommation élevée de vin pendant les repas), longtemps dominant, est dépassé par le modèle anglo-saxon. «Aujourd'hui, on ne boit plus à table. Mais on se défonce à la bière ou aux alcool forts le samedi soir», explique Jean-Paul Jeannin. Un nombre croissant de jeunes recherchent dans l'alcool l'effet d'une drogue et l'associent fréquemment à d'autres substances : médicaments psychotropes, cannabis, héroïne, LSD. Aussi inquiétant, le premier contact avec l'alcool se fait, apparemment, de plus en plus tôt. «On voit des gamins de 9-10 ans, souvent issus de milieux difficiles, prendre des cuites à la bière», assure Michel Reynaud. Enfin, si les filles continuent de boire moins d'alcool que les garçons, l'écart entre les deux sexes se resserre. Comment expliquer la défonce du samedi soir ? Dans l'imaginaire collectif, l'alcool est un produit associé à la fête, au plaisir. Valorisé socialement, il s'inscrit dans nos comportements ordinaires. Jean-Paul Jeannin multiplie les exemples : «Pourquoi n'offre-t-on pas du thé à la menthe à l'heure de l'apéritif ? Pourquoi parle-t-on de "vin d'honneur" et non pas de jus d'orange d'honneur ? Tout ceci n'est pas neutre.» «L'alcool est symbole de l'entrée dans le monde adulte et facteur de socialisation. Rien d'étonnant que les jeunes aient envie de boire», ajoute le psychiatre. Ces dernières années, l'alcool est aussi devenu beaucoup plus accessible. La loi n'est pas appliquée. Un adolescent peut aller dans un bar, un supermarché, et se procurer de la vodka ou du whisky. Et, avec les premix et les bières à 10 degrés, les alcooliers ont su séduire cette jeune clientèle, au pouvoir d'achat en augmentation. Marie Choquet insiste sur le mal-être de la génération actuelle : «La défonce est d'abord associée aux difficultés des adolescents.» Mais la chercheuse refuse toute stigmatisation : «Cessons de regarder les jeunes à la loupe. Ceux qui boivent le plus, c'est quand même nos vieux.» Jean-Paul Jeannin acquiesce. Pour lui, l'alcoolisation des moins de 25 ans est inséparable de celle du reste de la société. «Les Français sont parmi les plus gros consommateurs d'alcool et de psychotropes au monde. Comment voulez-vous qu'une société inquiète et intoxiquée ne produise pas une jeunesse intoxiquée ?» Quels sont les risques d'une consommation précoce ? D'abord les accidents de la route. Un taux d'alcoolémie supérieur à 0,5 g/l (environ 3 verres de vin) multiplie les risques d'accident par deux ; avec un taux de 1 g/l, le risque est décuplé. Les spécialistes plaident pour des contrôles renforcés à la sortie des bars et des boîtes de nuit le week-end. Une forte consommation d'alcool engendre aussi des comportements violents. Michel Reynaud rappelle que 50% des crimes et délits, en particulier les viols, sont commis sous l'emprise de l'alcool. Marie Choquet s'inquiète du nombre de «rapports sexuels non voulus et non protégés chez les jeunes filles qui boivent». Mais elle reste globalement optimiste : «Vers l'âge de 25 ans, à l'entrée de la vie professionnelle et familiale, la majorité des jeunes reviennent à une consommation normale.» Seul Jean-Paul Jeannin souligne réellement le risque de dépendance. «Aujourd'hui, on commence à accueillir dans les CHAA [Centres d'Hygiène alimentaire et d'Alcoologie] des alcoolo-dépendants qui ont 22-23 ans.» Surtout, les adultes qui ont bu à l'excès durant leur jeunesse seront plus enclins à se raccrocher à l'alcool en cas de coup dur, perte d'emploi ou divorce. L'alcoologue conclut : «On ne peut pas flirter avec des alcoolisations massives sans prendre des risques de dépendance, surtout chez un individu qui, au départ, a des fragilités biologiques ou psychiques. Une chose est sûre : nous sommes tous inégaux devant l'alcool.»
Propos recueillis par Sophie des Déserts (*) Chercheur à l'Inserm (Institut national de la Santé et de la Recherche médicale). (**) Professeur de psychiatrie au CHU de Clermont-Ferrand, auteur avec Philippe-Jean Parquet du rapport « les Personnes en difficulté avec l'alcool », publié en mars. (***) Alcoologue, enseignant à l'ENS (Ecole normale sociale).
Des Chiffres...
(source: AFP)
L'Européen boit entre 6 et 14 litres d'alcool pur par an, la palme étant détenue par les Français (14,1 litres) et les Luxembourgeois (14,6 litres). Réalistes pour la plupart des pays cités, les chiffres cités par l'ANPA sont cependant à prendre avec précaution car la fabrication et la consommation de boissons fabriquées clandestinement échappe à toutes les statistiques.
Taxés à 20,6 %, les vins et alcools ont rapporté un peu moins de 16 milliards de francs à l'Etat et la vignette spéciale frappant les boissons contenant plus de 25 % d'alcool a permis de verser directement 2,3 milliards supplémentaires à la "sécu".
Des chiffres sans commune mesure avec le coût médical de l'alcoolisme. Selon l'INSERM, la mortalité par psychose alcoolique a diminué presque de moitié en trente ans, de 18.000 morts en 1960 à 11.000 en 1997 mais l'alcool coûte tout de même 65 milliards de francs en traitements, 8 milliards en hospitalisations et 500 millions pour les centres de désintoxication. Et si - comme vient de le faire l'économiste Pierre Kopp - on ajoute à la facture le "coût social" de l'alcool (pertes de productivité engendrées par les décès et absentéisme), on aboutit à la somme de 115 milliards de francs.
Ce que l'Alcool nous apporte:
Il y a quelques années, on nous a dit que les Français avaient le plus faible risque de maladies cardio-vasculaires grâce à la consommation de vin rouge. Ce qu'on a oublié de dire est que les Français ont le pourcentage le plus élevé au monde d'alcoolisme, cancer du foie et cancer du pancréas. Le corps humain n'a PAS besoin d'alcool.
Aux Etats-Unis, chaque année, ce sont 400 milliards de dollars qui sont dépensés dans la publicité pour alcool et 100 milliards de dollars dépensés pour remédier aux dommages dus à l'alcool. Ce sont au moins 100,000 morts par an et un taux de 40% de lycéens qui boivent trop. Si l'alcool réduisait le risque de maladies cardio-vasculaires, les Américains devraient être les personnes les plus saines au monde. Au lieu de cela, les Etats-Unis sont le pays qui a les taux de maladies cardio-vaculaires, diabètes et cancers les plus élevés au monde ! (source : American Medical Association).
Une étude allemande a montré les effets de l'alcool sur les foetus quand le père boit : malformations physiques, dommages cérébraux, etc. La conclusion de l'étude est qu'il faudrait arrêter de boire de l'alcool 2 à 3 mois avant la conception du bébé.
A la vôtre!
Boire avec modération?
Est-ce possible?
Quand on parle aux "buveurs", des dangers de l'alcool, la première réaction que l'on obtient est "le problème n'est pas l'alcool mais la quantité que l'on absorbe. Si on boit avec modération il n'y a aucun problème".
Mais qu'entend-on par "modération" ? Certaines personnes disent qu'un ou deux verres de vins par jour est le maximum, tandis que d'autres acceptent un petit cognac ou 3 bières.
A vrai dire, "modération" ne veut rien dire et n'est pas applicable car nous sommes tous inégaux devant l'alcool.
Alors que Gérard a besoin de 3 scotchs, 3 bières et 2 vodka pour commencer à se sentir "bizarre", une seule bière est suffisante pour Michelle.
On ne peut pas fixer de limite de consommation au-delà de laquelle l'alcool est dangereux, pour la simple raison que cette limite est variable selon la personne concernée. Cette limite, si elle pouvait être définie, dépendrait du sexe de la personne, de son âge, de son poids et de sa taille, de sa santé, de son patrimoine héréditaire, de son "expérience" dans le domaine, etc.. En clair, chaque personne aura besoin d'une limite personnelle. On peut alors voir qu'il est totalement absurde de parler d'un maximum de 2 verres de vin ou de 1mg/L dans le sang. Si l'on fixe une limite, il faudra bien se rendre compte qu'en faisant cela, on "oublie" une partie de la population, pour qui cette limite est synonyme de "cuite".
Tout cela est sans compter sur la dépendance.
On ne peut donc pas fixer de dose limite et boire "avec modération" ne signifie rien de concret.
L'alcool est dangereux dès la première goutte.
Si la dependance n'existait pas, les problèmes d'alcoolisme n'existeraient pas.
N'oubliez pas que l'alcool a tout son temps pour s'occuper personnellement de vous.
A-t-on besoin d'en savoir
plus pour s'en éloigner?
L'alcool paralyse les sens,
L'alcool fait vomir,
L'alcool rend malade,
L'alcool tue,
L'alcool donne une image misérable de la personne que vous êtes,
L'alcool transforme le plus gentil des hommes en un monstre violent qui insulte et frappe tout ceux qui l'entourent,
L'alcool brise les couples,
L'alcool dissout les mariages,
L'alcool a tout son temps pour s'occuper de vous et de vos enfants.
Continuez à croire que vous êtes maître de vous-même.
"Ça ne me concerne pas
car je ne bois pas"
Vous n'avez pas besoin de boire pour devenir une victime de l'alcool.
L'alcool peut vous tuer ou tuer l'un de vos proches ou l'un de vos amis sans même que ce dernier ait touché un verre. Les accidents de la route ne tuent pas que des buveurs. Beaucoup d'innocents trinquent. La même chose se produit avec les gens qui respirent les fumées de cigarettes alors qu'ils ne fument pas.
L'alcool peut gâcher votre vie ou celle de votre moitié. La majorité des agressions sexuelles (et des violences en général) sont commises sous l'emprise de l'alcool. C'est facile : "Pas d'alcool = plus de 50% de viols en moins".
L'alcool peut faire de vous une "victime innocente".
A vous de choisir.
Si vous voulez rester muet quand des gens partout autour de vous peuvent tuer ou violer vos proches, c'est votre choix.
2. La vache (Al-Baqarah) - 219 : Ils t'interrogent sur le vin et les jeux de hasard. Dis: ‹Dans les deux il y a un grand préjudice et quelques avantages pour les gens; mais dans les deux, le préjudice est plus grand que l'utilité›.saint coran
source : www.air-islam.com
Qu'est-ce que les musulmans pensent de l'alcool ? Pourquoi ?
L'alcool est aujourd'hui considéré dans certains pays comme une drogue "douce" en soi. Et pourtant ses ravages sont terribles. Tant au niveau de la santé physique (cirrhoses, cancers) que de la santé mentale (addiction), les troubles qu'il cause sont là. Ses effets ne se limitent pas à l'individu mais touchent la famille (violences conjugales, parentales) et la société (coups et blessures, meurtres, accidents de la route). Comment le musulman et la musulmane considèrent-ils l'alcool ?
Les textes de la révélation ont strictement interdit l'alcool (Coran 5/90). De toutes les choses que ces textes ont déclaré interdites, certaines sont telles qu'elles ne contiennent que ce qui est nocif à l'être humain (sur le plan physique, sur le plan spirituel, sur le plan mental, sur le plan familial, sur le plan social ou autre) ; d'autres choses sont telles qu'elles contiennent à la fois ce qui est utile et ce qui est nocif pour l'être humain, mais ce qui est nocif domine ce qui est utile ; les textes de la révélation les ont donc strictement interdites également. Ainsi en est-il de l'alcool, dont Dieu a explicitement dit qu'il contient ce qui est utile mais aussi ce qui est nocif mais ce qui est nocif domine (Coran 2/219). L'alcool procure par exemple à l'organisme une sensation de chaleur et l'aide ainsi à supporter le froid, mais cet avantage n'est pas suffisant pour contrebalancer les ravages qu'il cause par ailleurs ; Dieu l'a donc strictement interdit. "Et il se peut que vous aimiez quelque chose alors qu'elle est nocive pour vous. Dieu sait…" (Coran 2/216). Un Compagnon habitant une région froide d'Arabie avait ainsi demandé au Prophète si les musulmans de cette région pouvaient absorber une boisson faite à partir du blé, qui les aidait à supporter le froid et les durs travaux. "Cette boisson cause-t-elle l'ivresse ? s'enquit le Prophète. - Oui. - Eh bien vous devez vous en abstenir" (rapporté par Abû Dâoûd, n° 3683).
A l'aube de la venue de l'islam, les habitants de la péninsule arabique étaient depuis longtemps de grands amateurs d'alcool. L'alcool de raisin, de datte, de miel, de maïs, etc. y étaient fabriqués et consommés avec grand plaisir. Voulant détacher les musulmans de l'alcool, l'islam ne s'y prit pas de façon brutale. Comme Al-Qardhâwî l'a écrit, les sources de l'islam communiquent "croyances, conception de la vie et actes de culte ; pensée et sentiments ; éthique et valeurs ; règles de politesse et traditions ; droit et législation. Tous ces éléments sont constitutifs de la société musulmane. Le droit n'est – malgré son importance – qu'un élément parmi d'autres. Comment penser que par le simple fait d'avoir émis quelques règles juridiques, nous aurons donné naissance à la société musulmane voulue ? Une législation seule ne forme pas un peuple : elle doit être appuyée par un changement de pensée et de sentiments" (Chariat ul-islâm sâliha lit-tatbîq fî kulli zamân wa makân, p. 134). C'est bien pourquoi Jundub ibn Abdullâh raconte l'expérience vécue en la compagnie du Prophète : "Nous étions, jeunes hommes, auprès du Prophète. Nous apprîmes la foi avant d’apprendre le Coran [c’est-à-dire les règlements coraniques]. Puis nous apprîmes le Coran, ce qui fit augmenter notre foi" (rapporté par Ibn Mâja, n° 61).
Pédagogie divine concernant l'alcool
C'est pour la même raison que Aïcha, épouse du Prophète (sur lui la paix), raconte : "Parmi les premiers passages du Coran à avoir été révélés, il y a une sourate parmi les sourates mufassal, dans laquelle il est question du Paradis et de l’Enfer ; et puis, lorsque les hommes retournèrent vers l’islam, le licite et l’illicite furent révélés. Si dès le début Dieu avait révélé : “Ne buvez plus d’alcool”, les hommes auraient dit : “Nous ne le délaisserons jamais !”. Si dès le début Dieu avait révélé : “Ne commettez plus l'adultère !”, les hommes auraient dit : “Nous ne le délaisserons jamais !”…" (rapporté par Al-Bukhârî, n° 4707).
Ce n’est qu’après ce long et profond travail sur les cœurs que la révélation s’est mise à édicter obligations et interdits, parmi lesquels l'interdiction de l'alcool. Et même ici, elle a encore choisi la voie du pragmatisme. En effet, le texte coranique, aujourd’hui encore, témoigne de la patiente progression et de la pédagogie qui furent les siennes dans la mise en place de l’interdiction : d'abord il a été dit que l'alcool était source d'avantages et d'inconvénients et que ses inconvénients dominaient ses avantages (Coran 2/219) ; puis il a été dit qu'il est désormais interdit de se trouver en état d'ivresse au moment d'une des cinq prières quotidiennes (Coran 4/43) ; puis l'alcool a été définitivement interdit (Coran 5/90). Ce processus s'est étalé sur une période de plusieurs années.
Le monde entier reconnaît que l'alcoolisme est un fléau sanitaire, familial et social. Au sujet des méfaits de l'alcool, cliquez ici pour lire le rapport de l'INSERM, ici pour lire le rapport du Réseau Canadien de la Santé et ici pour lire le rapport Médecine et Santé. Le monde entier reconnaît les ravages causés par cette "drogue". Mais si l'islam a, au VIIème siècle, réussi à amener globalement les hommes de toute une terre – l'Arabie – à se défaire de leur alcoolisme, c'est à cause de deux particularités : un profond travail sur les cœurs et les esprits sans interdiction dans un premier temps, puis, dans un second temps, une interdiction progressive liée à la responsabilité devant Dieu. Et c'est ce qui fait la différence d'avec la tentative avortée des Etats-Unis avec la Prohibition dans les années 20 du XXème siècle.
Quelques règles que le musulman cherche à respecter à propos de l'alcool
1) Le musulman se préserve de tout alcool, quel que soit le produit à partir duquel celui-ci a été fabriqué
Le Prophète a dit : "Tout ce qui enivre est vin. Et tout vin est interdit" (rapporté par Muslim, n° 2003). Un jour, questionné par un homme originaire du Yémen au sujet d'un alcool que les Yéménites fabriquaient à partir du maïs, le Prophète lui demanda : "Provoque-t-il l'ivresse ? – Oui, répondit l'homme. – Tout ce qui enivre est interdit" répondit le Prophète (rapporté par Muslim, n° 2002).
2) Le musulman se préserve de consommer même en petite quantité ce qui n'enivre que lorsque consommé en grande quantité
On a beau dire qu'on ne boira qu'un petit verre, le premier verre en appelle un second, et chemin faisant, toute la bouteille y passe. C'est une des constantes de la nature humaine. Le Prophète, fin psychologue, a donc interdit de consommer même en une quantité faible au point de ne pas provoquer l'ivresse, ce qui provoque l'ivresse lorsque pris en plus grande quantité : "Ce qui provoque l'ivresse en grande quantité est interdit même en petite quantité" (rapporté par Abû Dâoûd, n° 3681). "Ce dont la (consommation d') un farq [= quelques litres] provoque l'ivresse, même la consommation de ce qui tient dans le creux de la main en est interdite" (rapporté par Abû Dâoûd, n° 3687, At-Tirmidhî, n° 1866).
Il faut préciser ici que certains illustres savants étaient d'avis que seul l'alcool de raisin est interdit en grande et en petite quantité ; quant aux autres alcools, ils sont interdits lorsqu'ils sont pris en quantité telle qu'elle provoque l'ivresse ; par contre, il n'est pas interdit d'en consommer en quantité tellement minime qu'elle ne provoque pas l'ivresse et à condition que ce soit pour une raison valable – davantage de force physique. Mais Shah Waliyyullâh et Ibn Rushd disent ceci : tous les savants sont unanimes à dire que l'alcool de raisin est interdit en grande comme en petite quantité ; or dire que l'alcool de raisin est interdit en grande comme en petite quantité, mais que l'alcool fait à partir d'autres produits est, lui, autorisé en petite quantité et interdit seulement en grande quantité, cela ne correspondrait pas à l'habitude du droit musulman, qui est de ne pas faire de différence entre deux choses semblables ["jam' bayn al-mutamâthilayn"] (Hujjat ullâh il-bâligha, tome 2 p. 438 et p. 509, Bidâyat ul-mujtahid, tome 2 p. 876). Shâh Waliyyullâh écrit qu'en fait l'avis de ces illustres savants des premiers temps est dû au fait que le Hadîth "Ce qui provoque l'ivresse en grande quantité est interdit même en petite quantité" n'était pas parvenu à certains Compagnons et à leurs élèves. "Ils sont donc excusables, écrit Shâh Waliyyullâh. Mais le Hadîth ayant été diffusé ensuite partout, quelqu'un n'a plus d'excuse aujourd'hui" (Hujjat ullâh il-bâligha, tome 2 pp. 509-510). D'ailleurs, au sein de l'école faisant cette différence entre alcool et alcool, la fatwa est donnée selon l'avis des savants disant que la consommation de tout alcool est interdite, même en petite quantité (avis de Muhammad ibn al-Hassan).
3) Le musulman se préserve de faire le commerce de l'alcool et de favoriser sa consommation
Le Prophète a dit : "Dieu a interdit de vendre l'alcool, la bête non abattue rituellement (mayta), le porc et les idoles" (rapporté par Al-Bukhârî, n° 2121, Muslim, n° 1581, etc.). Le Prophète a également interdit que le musulman fabrique du vin, qu'il en transporte, qu'il le serve à boire à quelqu'un, etc. (extrait du Hadîth n° 1295 rapporté par At-Tirmidhî). Le musulman n'offre pas non plus d'alcool à quelqu'un. Persuadé qu'il s'agit de quelque chose de nocif, il ne peut offrir pareille chose à quelqu'un d'autre. "Ne pourrais-je pas en offrir à des juifs ?" demanda quelqu'un au Prophète. "Celui qui a interdit le vin a aussi interdit qu'on en offre aux juifs" (rapporté par al-Humaydî, cité dans Al-halâl wal-harâm, p. 6.
Cependant, les non-musulmans vivant en pays musulman ont pour leur part la liberté d'en acheter et d'en vendre pour leur propre consommation, tout en respectant l'ordre public.
4) Le musulman ne s'assoit pas dans les assemblées de beuverie
Le Prophète a dit : "Celui qui croit en Dieu et au jour dernier, qu'il ne s'assoie pas à une table sur laquelle l'alcool est bu" (ad-Dârimî 2092, Ahmad 14241 ; voir aussi at-Tirmidhî 2801, Ahmad 126).
Ibn Taymiyya écrit : "Il n'est pas permis à quelqu'un d'assister, de son plein gré et sans qu'il y ait nécessité ("dharûra"), à des assemblées où l'on fait le mal", et de citer ensuite le Hadîth ci-dessus (Majmû' ul-fatâwâ 28/221). Qu'est-ce que ce genre de nécessités ? Il y a assurément ce qu'il cite dans un autre passage : "celui qui est alors présent sans l'être de son gré" : celui-là ne commet pas un acte interdit (Ibid. 28/204).
Le même Ibn Taymiyya nomme cependant, ailleurs, des exceptions plus générales par rapport à la règle normale d'interdiction : "L'homme ne doit pas aller dans des lieux où il assistera à des actions mauvaises alors qu'il n'a pas la possibilité d'inciter à (les) abandonner ; sauf s'il y a une cause reconnue par les textes : comme le fait qu'il se trouve là-bas chose dont il a besoin pour l'avantage de sa pratique religieuse ou de ses affaires temporelles ("maslahatun fî dînihî aw dunyâh") et pour laquelle il n'a pas d'autre issue que d'aller en ce (lieu) ; ou bien qu'il ait été forcé (par quelqu'un) d'y aller. Mais pour ce qui est de se rendre en (pareil lieu) pour le simple divertissement", alors cela reste sous le coup de l'interdit (Ibid. 28/239). Voyez : ici, l'exception par rapport à la règle d'interdiction concerne non plus seulement le fait d'y avoir été contraint, mais aussi le fait de ne pas avoir d'autre issue que celle de se rendre en un tel lieu pour acquérir un avantage reconnu comme tel par les sources. Il faut donc deux choses : qu'il y ait, en le fait de se rendre en un tel lieu, un avantage qui soit reconnu tel par les textes des sources ; de plus, que cet avantage ne puisse pas être obtenu autrement que par le fait de se rendre en ce lieu.
Quelle "maslaha" peut-il y avoir dans le fait de se rendre en pareil lieu ? Ibn Taymiyya cite "celui qui est présent auprès de telles gens pour les inciter à cesser" (Ibid. 28/204). A la lecture de ces lignes du savant damascain, j'ai pensé à un autre cas qui se pose parfois : un homme ou une femme s'est converti(e) à l'islam alors que ses parents sont restés non-musulmans ; ceux-ci l'invitent à partager un repas qu'ils préparent en veillant à ce qu'aucun ingrédient illicite pour le musulman n'y soit mélangé ; le seul problème est qu'à table trône une bouteille d'alcool dont ces parents font une consommation personnelle au milieu du repas. Ce fils ou cette fille peut-il (elle) répondre à cette invitation et s'asseoir à cette table ? Au vu du principe énoncé par Ibn Taymiyya, la réponse serait "oui" : l'objectif de ce fils ou de cette fille est de contenter le cœur de ses parents en répondant à leur invitation, et c'est là un avantage reconnu comme tel par les sources, Dieu demandant au fils d'être de bonne compagnie pour ses parents même "s'ils veulent t'amener à Me donner des associés" : il s'agit alors ne pas obéir à cette demande mais à continuer à être de bonne compagnie envers eux (Coran ). Or cet avantage passe par le fait de répondre à leur invitation, car ils se sentiraient vexés par un refus, alors que d'autre part il n'est pas toujours possible de leur dire sans les vexer – voire même les braquer – qu'un musulman ne peut s'asseoir à une table où l'alcool est consommé. Je me suis renseigné auprès d'un mufti réunionnais pour lui demander si ma pensée à ce sujet était correcte, il m'a répondu que oui.
5) Le musulman considère-t-il l'alcool comme étant impur rituellement ?
La majorité des juristes considèrent en effet l'alcool comme étant rituellement impur (najâssa hissiyya), ce qui fait que la partie des vêtements ou du corps qui a été touchée par l'alcool doit être lavée avant que l'on puisse accomplir la prière (salât). Ils se fondent sur le verset qui dit de l'alcool qu'il est "rijs" (Coran 5/90), qu'ils traduisent par "impur rituellement" (Cf. Bidâyat ul-mujtahid, tome 1 p. 148, Al-fiqh al-islâmî wa adillatuh, tome 1 p. 303 et tome 7 p. 5496).
Seuls Rabî'at ur-ra'y, al-Layth ibn Saad, al-Muzanî et quelques autres juristes pensent que l'alcool n'est pas impur rituellement (najâssa hissiyya) mais qu'il constitue une impureté sur le plan moral seulement (najâssa ma'nawiyya) (Fatâwâ mu'âsira, tome 3 p. 564).
6) Le musulman peut-il vendre du raisin à celui dont il sait qu'il en fera de l'alcool ?
D'après ce que al-Haskafî a écrit comme principe d'après Abû Hanîfa : la règle, à propos de toute chose dont certaines utilisations sont licites et d'autres illicites, et dont on pense que l'acheteur va l'utiliser de façon illicite, est la suivante :
- s'il s'agit d'une chose qui est utilisable de cette façon illicite dans sa forme actuelle, alors il est interdit de la vendre à celui dont on est certain ou quasi-certain qu'il va en faire une utilisation illicite ;
- par contre, s'il s'agit d'une chose qui ne peut être utilisée de façon illicite qu'après avoir été transformée par l'acheteur, alors il est seulement déconseillé (mak'rûh tanzîhan) de la vendre à celui dont on est certain ou quasi-certain qu'il va la transformer et utiliser ensuite le produit obtenu de façon illicite.
Selon cet avis, il est interdit de vendre des armes à celui dont on est quasi-certain qu'il va les utiliser pour voler et piller : on sait qu'il va en faire une utilisation illicite, et cette utilisation illicite se fait, avec les armes, telles qu'elles sont vendues. Par contre, il est seulement déconseillé de vendre du raisin à celui dont on pense qu'il va en faire du vin, car c'est après transformation en matière illicite ce qui était licite que l'acheteur va en faire une utilisation illicite.
Par contre, d'après les juristes Mâlik et Ahmad, il est interdit de vendre du raisin à celui dont on est certain ou quasi-certain qu'il va en faire du vin (Zâd ul-ma'âd, tome 5 p. 763, Al-fiqh al-islâmî wa adillatuh, tome 5 p. 3458). Abû Yûssuf et Muhammad ibn al-Hassan sont du même avis (Jadîd fiqhî massâ'ïl, p. 375). Cette règle concerne le cas de l'acheteur potentiel dont on sait pertinemment qu'il va faire du vin du raisin qu'il achète. Cependant, si on ne savait pas et on le lui a vendu puis on découvre qu'il en a fait du vin, on n'a rien à se reprocher. On ne doit d'ailleurs pas devenir soupçonneux et demander à chaque acheteur potentiel ce qu'il compte faire du raisin qu'on vend. Pour davantage de détails sur ce point, lire mon article à propos de vendre ce dont on sait que l'acheteur fera une utilisation illicite.
Il est donc interdit d'assister au mariage non musulman puisque dans ces cérémonies, il y a toujours de l'alcool qui circule
De même alors, tous les tripods sur la côte sont interdits et toutes les manifestations que l'on a pendant le ramadan.
Et bé, tout ce que l'on fait en fait va forcément contre quelque chose .... Puisque de même, on en peut pas aller au restaurant avec ces collègues si ceux-ci boivent de l'alcool ....
azul! je crois ke c pa un probleme, boire ou pas,ca change rien en matiere de relation humaine,on peut tomber sur des personnes qui nareten pas de boir et ki ont un comportement tres sympa,cultive,et respectueu, et de lotre cote, des gens ki ne boiven pas et ki narete pas de vous faire du chantage en cki concerne la kestion de foi, c personnel, c une relation vertical entre dieu est ses sujet,et ke personne na le droit de sy meler! et c garantie par la religion elle meme!lislam c tres sympa, lalcool ca fait perdre la nature humaine, et chakun fait ckil veut tan kil ne derange pas les otr!
Il est donc interdit d'assister au mariage non musulman puisque dans ces cérémonies, il y a toujours de l'alcool qui circule
De même alors, tous les tripods sur la côte sont interdits et toutes les manifestations que l'on a pendant le ramadan.
Et bé, tout ce que l'on fait en fait va forcément contre quelque chose .... Puisque de même, on en peut pas aller au restaurant avec ces collègues si ceux-ci boivent de l'alcool ....
Spike, je pense que tu devrais relire les deux derniers paragraphes du texte, en effet, l'auteur explique l'avis de plusieurs savants musulmans sur les célébrations (cérémonies, mariages, aller au restau avec des collègues etc.).
à mon avis, tant que tu t'es déjà fixée l'idée dans ton esprit que tu ne boiras jamais de l'alcool dans ta vie (sachant que Dieu l'a interdit à cause de ses effets néfastes sur la santé, la vie sociale etc.) il n'y a pas de raisons de se faire du souci...
tes collègues au travail ou tes amis comprendront bien que tu ne bois pas l'alcool pour des raisons que tu pourrais expliquer s'ils te le demandent, donc renseignes toi suffisamment.
puis il y a bien des choses meilleures que l'alcool, en d'autres termes des boissons ou jus rafraichissants qui comportent des vitamines utiles pour la santé et qui ne laissent pas une odeur désagréable dans la bouche comme l'alcool.
Sexe: Age: 50 Zodiaque: Signe Chinois: Inscrit le: 24 Juin 2006 Messages: 295 Localisation: France
أضرار الخمر على القلب والأوعية الدموية
د. شبيب الحاضري
لنتعرف قليلا على بديع الباريء جل في علاه في القلب هذا العضو الذي أودع الله فيه من أسرار خلقه ما يجعل الإنسان يقف خاشعا أمام عظمة الخالق العظيم لا يملك إلا أن يقول: {صُنْعَ اللَّهِ الَّذِي أَتْقَنَ كُلَّ شَيْءٍ} (النمل: 8، وأسوق هنا بعض الحقائق عن القلب بالأرقام حتى يتبين لنا عظم صنع الخالق العظيم، وتتجلى مقدرته، قال تعالى: {وَفِي أَنفُسِكُمْ أَفَلا تُبْصِرُونَ} (الذاريات: 21)
ويبلغ طول القلب (12,5) سنتيمترا، وعرضه (8,5) سنتيمترا. ويبلغ وزنه عند الولادة (25.20) جراما، ويصل في الذكر عند البلوغ إلى (310) جراما وفي الأنثى نحو (225) جراما.
ـ يضخ القلب في الدقيقة الواحدة خمس لترات من الدم من خلال سبعين نبضة في الدقيقة، ويصل مجموع ما يضخه في اليوم الواحد (7200 لتر) من خلال (100,000 نبضة) وبحسابات بسيطة نستطيع القول: إن الإنسان الذي يبلغ من العمر (75) سنة يكون قلبه قد قام بنحو (3) مليارات نبضة، ضخ خلالها كمية من الدماء تصل إلى (200) مليون لتر.. فسبحان الخالق العظيم.
يوجد في المتحف البريطاني بلندن نموذج فريد للقلب، يوضح المسار الذي يقطعه الدم خلال الأوعية الدموية من جراء ضخ القلب له، حيث تصل تلك المسافة إلى ما يعادل (100,000 كيلومتر) يوميا. يستغرق الدم في قطع المسافة من القلب إلى الرئة ثم إلى القلب زمنا يقدر بست ثوان، بينما يقطع الدم المسافة إلى الدماغ ثم إلى القلب مرة أخرى في ثماني ثوان، في حين أن الدم يقطع المسافة من القلب إلى أصابع القدم ثم العودة إلى القلب في ثماني عشرة ثانية.
وكلها أرقام محددة وموزونة، قال تعالى: {إنَّا كُلَّ شَيْءٍ خَلَقْنَاهُ بِقَدَر} (القمر: 49)، فلا طبيعة ولا صدفة، بل إله بديع خالق حكيم مدبر ـ جل جلاله ـ.
هذا العضو الحساس في جسم الإنسان ـ والذي أودع الله فيه من أسرار خلقه ما شاء سبحانه ـ لا يسلم من شر ذلك السم الخبيث (الخمر) الذي يؤدي إلى تعطيل وظيفته وإصابته إصابات بالغة، والمعلوم أن أي عطب ولو كان بسيطا في هذا العضو قد يؤدي إلى الوفاة.
إن كل قطرة من الكحول يحتسيها الشارب تمر عن طريق القلب، ومع هذا الاجتياز يزداد تأثر القلب، فيزداد نبضه ليعمل فوق طاقته، مما يؤدي في النهاية إلى إرهاقه وتعبه.
ولقد كان الاعتقاد السائد إلى عهد قريب أن الخمر تنفع في علاج بعض أمراض القلب مثل الذبحة الصدرية (خناق الصدر) (Angina pectoris) وارتفاع الضغط وغيرها. ولكن بفضل الله بدأ يتكشف زيف تلك الأوهام مع تطور الأبحاث الطبية الحديثة، ففي القرن الماضي بدأت تتكشف العلاقة الوطيدة بين الإدمان على الكحول والإصابة بأمراض القلب المختلفة. وقد كان العالم (وود) (wood) في عام 5581م هو أول من أثبت أن الكحول يعتبر عاملا رئيسيا في الإصابة بهبوط القلب، وهكذا توالت الأبحاث إلى أن ظهر في عام 1960م مرض جديد يعرف باعتلال عضلة القلب الكحولي (Alcoholic cardiomyopathy) كأحد الأمراض الناتجة عن الإدمان على تعاطي الخمور.
فكيف يؤثر الكحول على الوظائف الحيوية للقلب؟
يظهر تأثير الكحول على عضلة القلب من خلال عدة عوامل مجتمعة منها:
1. التأثير السمي المباشر للكحول على عضلة القلب.
2. تزامن الإدمان على الكحول مع الإفراط في التدخين.
3. تأثيره على تغذية المدمن وعمليات الاستقلاب.
4. نمط الحياة الذي يعيشه المدمنون، حيث تجدهم لا يعيرون اهتماما كبيرا لصحتهم ولغذائهم ولا للعلاج الذي يعطى لهم.
إن تناول الكحول يتسبب في إحداث تغيرات في الوظائف الميكانيكية والخواص الكهربائية والكيميائية للقلب.
أما ما يحدثه الكحول من تغيرات في الوظائف الميكانيكية للقلب فتبرز من خلال الأمور التالية:
1. تأثير الكحول على الاستقلاب في القلب
أ ـ تأثيره على استقلاب الدهون:
أثبتت التجارب العلمية بأن تعاطي الكحول ولو لمرة واحدة يؤدي إلى زيادة فورية في محتوى خلايا القلب من الجليسرين (Glyceride)، والتي تمر بعدة مراحل: حيث يبدأ القلب أولا باستقطاب الدهون ثلاثية الجليسرين (Triglycerides) من الدم، ثم تحفز خلايا القلب لتكوين هذا النوع من الدهون بنفسها فيكثر بذلك مخزون القلب من الدهون.
كما وجد أن الكحول يساعد على امتصاص الدهون من الأمعاء فترتفع بذلك نسبتها في الدم وخصوصا الكوليسترول (Cholestrol). وكل تلك العوامل تساعد على تصلب الشرايين، حيث تتجمع الدهون وبخاصة الكوليسترول على جدران الأوعية الدموية، مما يؤدي إلى تصلبها ومن ثم تضيقها وتكون جلطة دموية (Thrombus)، والتي تؤدي إلى فقدان العضو لكمية الدم التي يحتاجها فيصاب بالاحتشاء ثم الموت (Necrosis).
ويحتج بعضهم بأن الكحول يزيد من نسبة الدهنيات عالية الكثافة في الدم (High Density Lipoproteins) (HDL)، والتي تقلل من نسبة الإصابة بفقر التروية القلبية (Ischemic heart disease)، إلا أن المخاطر الجمة التي تتعرض لها بقية أعضاء الجسم ومن بينها القلب نتيجة للتأثير السمي الكحولي تجعل من عدم الحكمة أن يوصف الكحول كعلاج وقائي من الإصابة بفقر التروية القلبية.
ب ـ تأثيره على استقلاب المعادن في القلب:
إن تعاطي الكحول ولو لمرة واحدة يؤدي إلى انسحاب عنصري البوتاسيوم والفوسفات من خلايا عضلة القلب، كما يزداد تركيز الصوديوم داخل هذه الخلايا مما يؤدي لاختلال في وظيفة القلب، وكل تلك الاضطرابات تعود غالبا لحالها الطبيعي بمجرد الإقلاع عن شرب الخمر.
كما وجد أن الإدمان على الكحول يتسبب في نقص عنصر الزنك مما يؤدي إلى اختلال في وظيفة القلب كذلك.
جـ ـ تأثيره على استقلاب البروتينات:
بالرغم من التأثير المباشر للكحول على المصورة الحيوية (الميتوكوندريا) مما يؤدي إلى تحطيمها ومن ثم إحداث خلل كبير في عمليات الاستقلاب، إلا أن تأثير الكحول على الحزمة المحفزة لانقباض العضلات (Excitation contration couping) والبروتينات التي تساعد في عملية انقباض عضلة القلب (Contractile proteins) يؤدي إلى إصابتها إصابة بالغة كذلك، ويرجع سبب ذلك إلى تأثير الكحول وخصوصا مادة الاسيتالدهايد (Acetaldehyde) الناتجة عنه على عملية تكوين البروتينات مما يؤدي إلى نقص البروتين عن هذه العضلات الانقباضية.
2. تأثير الكحول على وظائف القلب وخصائصه:
أ ـ تأثيره على قدرة القلب على الانقباض (القدرة الميكانيكية):
لقد ظهر من خلال العديد من الدراسات أن الكحول يحدث خللا في قدرة القلب على الانقباض ومن ثم انخفاض معدل ضخه للدم حتى في حالة عدم وجود أي أعراض مرضية في القلب. وهذا التأثير التثبيطي (depressant effect) يزداد إذا صاحبه وجود اعتلال في عضلة القلب وخصوصا فقر التروية القلبية.
وقد قام العلماء بدراسة مستفيضة لمعرفة دور الكحول في التأثير على عضلة القلب، ومن ذلك ما وجده بعض الباحثين من أن شرب كمية قليلة من الويسكي (أوقيتين إلى ثلاث أوقيات) تؤدي إلى انخفاض كمية الدم التي يضخها القلب في الضربة الواحدة (Stroke volume) مع انخفاض إجمالي لكمية الدم التي يضخها القلب في الدقيقة الواحدة (Cardiac output) وخصوصا عند المصابين باعتلال عضلة القلب. يقول الدكتور (برون وولد): (يتسبب الكحول في تثبيط قدرة عضلة القلب على الانقباض بشكل حاد أو مزمن حتى لو أخذ بكميات معتدلة).
ب ـ تأثير الكحول على منعكسات القلب (Cardiovascular reflexes):
لقد أجريت تجارب على متطوعين أصحاء، طلب منهم شرب كمية من الكحول ثم قام الأطباء بتعريضهم لأنواع من التوترات (Stress) حتى يتعرفوا على مدى تأثير منعكسات القلب، فكانت النتيجة ارتفاع معدل ضربات القلب وانقباض شديد في الأوعية الدموية الطرفية بزيادة ملحوظة تفوق استجابة غيرهم من الذين لا يشربون الخمور.
وقد يعتبر هذا الأمر بالنسبة للأصحاء غير ذي بال، إلا أن خطورته تزداد عند الذين يعانون من اعتلال في قلوبهم.
جـ ـ تأثير الكحول على الخواص الكهربائية للقلب:
من المعلوم أن فاعلية القلب الكهربائية يمكن تسجيلها بشكل رسم بياني على ورق من نوع خاص يتحرك بسرعة محددة وثابتة فتحصل على مخطط كهربائي لهذه الفعالية، وهذا ما يعرف بتخطيط القلب الكهربائي (E. C. G,).
ويؤدي تناول الكحول إلى اضطرابات في نظم القلب (Dysrrhythmias) قد يكون بعضها مميتا. كما أنها تعتبر من أهم أسباب موت الفجأة عند شاربي الخمر.
وقد قام (اتينجر وزملاؤه) بدراسة نوبات الاضطرابات في نظم القلب لدى (42) مدمنا على الكحول، والتي تكثير في العطل الأسبوعية حيث يكثر تعاطي الخمور، لذا أطلق عليها متلازمة إصابة القلب في أيام العطل (Heart Syndrome The Holiday)، ومن تلك الاضطرابات: تسارع النظم الأذيـني الاشتدادي (Paroxysmal Atrial Tachycardia)، وخوارج الانقباض الأذينية والبطينية المنشأة (Atrial & Ventricular Ectopic Beats)، وتسارع النظم الجيبي (Tachycardia Sinus)وتسارع النظم البطيني (Ventricular Tachycardia)، والرجفان الأذيني (Atrial Fibrllation) وهذا الأخير يكثر حدوثه عند شاربي الخمور حيث يشعر المريض بخفقان شديد وعدم انتظام في ضربات القلب قد يكون سببا في هلاكه.
كما وجد أن للكحول تأثيرا مثبطا للتوصيل الكهربائي للقلب (Conductive system) والذي يزداد حدة إذا كان المدمن يعاني من اعتلال في عضلة القلب. ويؤكد الدكتور (سيجل وزملاؤه) بأن الدراسات قد أثبتت أن تعاطي الكحول ولو لمرة واحدة تحدث خللا في ميكانيكية القلب وخواصه الكهربائية. وقد لا يكون ذلك الخلل بتلك الدرجة من الخطورة عند شاربي الخمور الذين لا يعانون من أمراض أخرى في القلب، إلا أنه دون شك يكون خطيرا عند أولئك المصابين باعتلال في قلوبهم. وقد وجد العلماء أن الإنسان إذا تناول ست أوقيات من الكحول في خلال (42) ساعة فإن عدد دقات قلبه تزيد عن المعدل الطبيعي بمقدار اثني عشرة دقة في الدقيقة.. وهذا العمل الإضافي الذي يؤديه القلب لابد وأن يضعفه على مدى الأيام، ويؤثر على عضلته وفي أعصابه، الأمر الذي يؤدي ـ إن عاجلا أو آجلا ـ إلى عدم قدرة القلب على مقاومة أي جهد زائد عن المعتاد، مما يؤدي في النهاية إلى استرخاء تلك العضلة وتمددها، ومن ثم عدم قدرتها على الضخ، فتقل بذلك كمية الدم التي يحتاجها كل عضو من أعضاء الجسم.
وهو مرض خطير يكثر عند الرجال المدمنين على شرب الكحول لفترات طويلة تمتد من (10) إلى (15) سنة، ويمثل الإفراط على تعاطي الكحول نحو (20٪) من الأسباب المؤدية للإصابة باعتلال عضلة القلب.
وقد وجد الباحثان (ألدرمان) و(كولتارت) في عام 1982م، أن تناول نصف قارورة من الويسكي يوميا ولعدة أشهر يؤدي إلى اعتلال القلب عند أولئك الذين لا يعانون من أمراض سوء التغذية. كما لاحظ الباحثون في كندا في عام 1960م انتشار نوع من اعتلال عضلة القلب عند مدمني شرب البيرة (Beer drinker's cardiomyopathy)، ويعود ذلك لما يضاف إلى البيرة من مواد للتثبيت مثل الكوبلت.
كما وجد أن بعض المشروبات الكحولية مثل شراب (Moon shine) تؤدي إلى الإصابة باعتلال عضلة القلب نظرا لاحتوائها على الرصاص الذي يضاف عادة إلى هذا المشروب. وتصاب عضلة القلب في هذا المرض بالضعف والاسترخاء فتتوسع حجيرات القلب وخصوصا البطين الأيسر مما يؤدي إلى انخفاض قدرته على ضخ الدم إلى بقية أجزاء الجسم، فيصاب المريض بالإعياء الشديد، ويفقد القدرة على الحركة البسيطة. كما يشعر بضيق في التنفس وأحيانا بآلام في الصدر، وقد تضطرب ضربات قلبه، وقد تكون النهاية بإصابة القلب بما يعرف بالهبوط الاحتقاني (Congestive heart failure)، فتتجمع السوائل في رئتي المريض ويكبر حجم كبده وتتورم قدماه.
والعاقبة في هذا المرض وخيمة خلال أيام معدودات إذا لم يتوقف العاصي عن شرب الخمر ويعطى العلاج المناسب.
وقد وجد أن نحو (80٪) من المرضى قد توفوا في خلال ثلاث سنوات من بدء اكتشاف المرض إذا هم أصروا على الاستمرار في تعاطي الخمور. وعند تشــريح قلوب المصـابين بهذا المرض بعد الوفاة، وجد أن حجــرات القلب كلها تتسع بينما يزداد سمك البطين الأيسر، كما تتكــون جلطات (Thrombi) على جدار القلب، مما يكون له أعظم الخطر إذا انفصل جزء من هذه الجلطة وسار إلى أماكن من الجسم وخصوصا الدماغ. فإنها حينذاك تسد الأوعية الدموية ومن ثم يقل إرواء ذلك العضو من الدم فتكون العاقبة وخيمة.
مرض بري بري (Beri beri):
يكثر هذا المرض عند مدمني الخمور، ويعود سبب هذا المرض إلى ما يحدثه الكحول من نقص في فيتامين (ب1) المعروف بالثيامين (Thiamine)، والذي يوجد بكثرة في قشر القمح والأرز كما يوجد في الحليب واللحوم وبعض الخضروات والفواكه. والكحول شره في استهلاك هذا الفيتامين في الجسم، حيث وجد أن احتراق جرام واحد من الكحول يحتاج إلى ثمانية ملليجرامات من هذا الفيتامين الحيوي، مما يؤدي إلى نقصه من جسم شارب الخمر، أضف إلى ذلك سوء التغذية التي غالبا ما يعاني منها مدمنو الخمر.
أما نقص هذا الفيتامين فيؤدي إلى ما يلي:
1. عدم قدرة الخلايا على استخدام الجلوكوز كمصدر للطاقة. وأكثر الأجهزة تأثرا هو الجهاز العصبي حيث إن الجلوكوز يمثل بالنسبة له المصدر الوحيد للطاقة، فلذا يصاب المدمن بحالة من الهذيان وفقدان التركيز والترنح وغيرها. وهذا ما يعرف بداء فيرنيكيه (Wernickes encephalopathy). كما تصاب الأعصاب الطرفية بالاعتلال (Peripheral Neuropathy).
2. تتراكم كمية كبيرة من حامض البيروفيك (Pyruvic acid) وزيادة في ضخ الدم من القلب بكميات كبيرة مما يؤدي إلى إرهاق القلب وفي الأخير هبوطه (Heart failure).
ثانيا: الأوعية الدموية
ويقصد بها الشرايين والأوردة والشعيرات الدموية.. وهي شبكة المواصلات المعقدة في الجسم حيث يصل طولها إلى نحو (000000, 1) كيلو متر، ويتم بواسطتها إيصال الأكسجين والغذاء المحمول في الدم إلى جميع أجزاء الجسم. وكما علمنا سابقا من تأثير الكحول على دهنية الدم، فإن هذه الأوعية تصاب بالتصلب والضيق نتيجة لتراكم الدهون عليها فتفقد بذلك مرونتها التي وهبها الله إياها فتصبح جدرانها كثيفة وصلبة وقابلة لأن تنقصف لأول وهلة، كما يحدث للأنابيب المطاطية عندما تجمد وتجف. كما يسبب الكحول ارتفاعا في ضغط الدم، وقد تم تفصيل ذلك في فصل تأثير الخمر على الجهاز البولي.
المصدر: موقع الهيئة العالمية للإعجاز لعلمي في القرآن والسنة www.nooran.org
azul! je crois ke c pa un probleme, boire ou pas,ca change rien en matiere de relation humaine,on peut tomber sur des personnes qui nareten pas de boir et ki ont un comportement tres sympa,cultive,et respectueu, et de lotre cote, des gens ki ne boiven pas et ki narete pas de vous faire du chantage en cki concerne la kestion de foi, c personnel, c une relation vertical entre dieu est ses sujet,et ke personne na le droit de sy meler! et c garantie par la religion elle meme!lislam c tres sympa, lalcool ca fait perdre la nature humaine, et chakun fait ckil veut tan kil ne derange pas les otr!
Salam
oui il ya une par de la verite ds cke tu di
mai di moi ls gens sympa ki boivent et dont tu parles le sont aussi quand ils sont en etat d'ebriete
une autre reflexion
as-tu deja fait attention aux ivres en le faisant peut etre tu va te rendre compte ke ce n'est plus 1 affair personnel vu les repercussions de leur etat sur les autres
On dit qu'on voit la vraie nature des gens quand ils sont ivres .....
J'ai eut l'occasion de voir des personnes qui veulent se faire croire dur à cuir et qui devienne d'adorables bambins une fois trop bus.
D'autre, deviennent tout le contraire.
Mais il faut aussi se méfier, tous les alcools ne font pas réagir pareil ...
Il est donc interdit d'assister au mariage non musulman puisque dans ces cérémonies, il y a toujours de l'alcool qui circule
De même alors, tous les tripods sur la côte sont interdits et toutes les manifestations que l'on a pendant le ramadan.
Et bé, tout ce que l'on fait en fait va forcément contre quelque chose .... Puisque de même, on en peut pas aller au restaurant avec ces collègues si ceux-ci boivent de l'alcool ....
Spike, je pense que tu devrais relire les deux derniers paragraphes du texte, en effet, l'auteur explique l'avis de plusieurs savants musulmans sur les célébrations (cérémonies, mariages, aller au restau avec des collègues etc.).
à mon avis, tant que tu t'es déjà fixée l'idée dans ton esprit que tu ne boiras jamais de l'alcool dans ta vie (sachant que Dieu l'a interdit à cause de ses effets néfastes sur la santé, la vie sociale etc.) il n'y a pas de raisons de se faire du souci...
tes collègues au travail ou tes amis comprendront bien que tu ne bois pas l'alcool pour des raisons que tu pourrais expliquer s'ils te le demandent, donc renseignes toi suffisamment.
puis il y a bien des choses meilleures que l'alcool, en d'autres termes des boissons ou jus rafraichissants qui comportent des vitamines utiles pour la santé et qui ne laissent pas une odeur désagréable dans la bouche comme l'alcool.
Justement, c'est parce que j'ai bien lu le texte que je disais cela :
Citation:
4) Le musulman ne s'assoit pas dans les assemblées de beuverie
Le Prophète a dit : "Celui qui croit en Dieu et au jour dernier, qu'il ne s'assoie pas à une table sur laquelle l'alcool est bu" (ad-Dârimî 2092, Ahmad 14241 ; voir aussi at-Tirmidhî 2801, Ahmad 126).
Ibn Taymiyya écrit : "Il n'est pas permis à quelqu'un d'assister, de son plein gré et sans qu'il y ait nécessité ("dharûra"), à des assemblées où l'on fait le mal", et de citer ensuite le Hadîth ci-dessus (Majmû' ul-fatâwâ 28/221). Qu'est-ce que ce genre de nécessités ? Il y a assurément ce qu'il cite dans un autre passage : "celui qui est alors présent sans l'être de son gré" : celui-là ne commet pas un acte interdit (Ibid. 28/204).
Le même Ibn Taymiyya nomme cependant, ailleurs, des exceptions plus générales par rapport à la règle normale d'interdiction : "L'homme ne doit pas aller dans des lieux où il assistera à des actions mauvaises alors qu'il n'a pas la possibilité d'inciter à (les) abandonner ; sauf s'il y a une cause reconnue par les textes : comme le fait qu'il se trouve là-bas chose dont il a besoin pour l'avantage de sa pratique religieuse ou de ses affaires temporelles ("maslahatun fî dînihî aw dunyâh") et pour laquelle il n'a pas d'autre issue que d'aller en ce (lieu) ; ou bien qu'il ait été forcé (par quelqu'un) d'y aller. Mais pour ce qui est de se rendre en (pareil lieu) pour le simple divertissement", alors cela reste sous le coup de l'interdit (Ibid. 28/239).
Il est bien dit que tout musulman qui se respecte ne doit pas aller et/ou assister à de tel chose ...
Tu ne vas jamais au restaurant ou à un mariage forcé ! Quand tu vas à un mariage Européen, tu sais forcément qu'il y aura du vin et du champagne même si toi tu n'en bois pas. Et tu sais pertinament que tu nepourras demander aux autres de ne pas boire !
Et, cela ne ta'pporte rien d'y assister mis à part une distraction ....
Pour ma part il m'est arrivé très souvent d'aller à des fêtes ou les gens buvait.
Je ne bois pas ... c'est mon affaire ... les autres ... c'est leur affaire aussi ... cependant j'ai pu constater qu'en ma présence les gens buvaient bien moins et certains plus du tout ...
Et pourtant ces mêmes personnes ... lorsqu'elles sont à une autre table que la mienne boivent beaucoup.
Ah oui j'oubliais ... je quitte toujours très tôt ... je n'aime pas voir mes collègues ivres ... je préfère garder une bonne image d'eux.
Mais je laisse toujours bien en vue sur les tables les coordonnées des deux différents organismes qui font du raccompagnement à coût très modique (les gens donnent ce qu'ils veulent en fait) ...
Et je fais le tour des gens qui me semblent bien "partis" avant de quitter ... histoire de leur faire prendre conscience ou ils en sont au juste.
Je sais ... une vraie maman poule.
N'empêche que comme c'est moi qui s'occupe des fêtes pour le bureau j'ai organisé l'horaire de façon à ce que l'apéro ne s'éternise pas ... ainsi que le digestif rireeee
Et après il y a tellement d'activités à faire que les gens ne pensent plus autant à boire.
Pourquoi est ce la consommation d'alcool est interdite dans l'Islam ?
Réponse :
L'alcool a été le le fléau de société humaine depuis le temps immémorial. Il continue à coûter des vies humaines innombrables, et cause la terrible misère terrible aux millions à travers le monde entier. L'alcool est la racine cause problèmes qui font face à société. La statistique de la montée de la criminalité , l'augmentation des cas de maladies mentales et de millions de maisons ruinés à travers le monde entier est la preuve du pouvoir destructif d'alcool.
1. La prohibition d'alcool dans le Qur’an
Le coran Glorieux interdit la consommation d'alcool dans le verset suivant :
"les croyants ! Le vin, le jeu de hasard, les pierres dressées, les flèches de divination ne sont qu'une abomination, oeuvre du Diable. ةcartez-vous en, afin que vous réussissiez
[Al-Qur’an 5:90]
2. L'alcool inhibe le centre inhibiteur
Les êtres humains possèdent un centre inhibiteur dans leur cerveau. Ce centre inhibiteur empêche la personne de faire des choses qu'il considère mal. Par exemple une personne n'utilise pas sa langue offensante en s'adressant a ses parents ou aînés.. S'il doit répondre a l'appel de nature, son centre inhibiteur l'empêchera de faire donc en public. Donc il utilise la toilette.
Quand une personne consomme l'alcool, le centre inhibiteur lui-même est inhibé. C'est avec précision la raison qu' une personne enivrée"ivre" est souvent trouvée pour céder dans le comportement qui est complètement peu habituel de lui. Par exemple Par exemple la personne ivre est trouvée pour utiliser la langue abusive et fétide et ne se rend pas compte même de son erreur s'il s'adresse à ses parents Beaucoup urinent même dans leurs vêtements. Ils ne parlent, ni marchent correctement. Ils agissent mal.
3. Les cas d'adultère, viol, inceste et SIDA sont trouvés plus parmi les alcooliques
Bureau de l'Étude du Représailles de l'Infraction National de Justice (Ministère de la Justice Américain) en l'année 1996 seul chaque jour en moyenne 2,713 viols ont eu lieu. Les statistiques nous disent que la majorité des violeurs, ont été ivres en commettant le crime. Le même est vrai dans les cas d'agressions sexuelles.
Selon la statistique, 8 % des américains commettent l'inceste c'est-à-dire un dans toutes douze à treize personnes en Amérique est impliqué dans l'inceste. Presque tous les cas d'inceste sont dûs à ivresse d'un ou les deux les personnes en cause.
Un des facteurs importants associé à la propagation de SIDA, la maladie la plus terrible, est l'alcoolisme.
4- Chaque alcoolique était au départ un ivrogne social
Beaucoup peuvent se disputer en faveur de l'alcool en s'appelant les ivrognes sociaux ’. Ils réclament qu'ils ont seulement une ou deux patères et ils ont l'autodiscipline et n'arrivent jamais a etre ivres. Les enquêtes révèlent que chaque alcoolique a commencé comme un buveur social. Pas un alcoolique seul ou l'ivrogne commence initialement à boire avec l'intention de devenir un alcoolique ou un ivrogne.. Aucun ivrogne social ne peut dire que j'ai eu de l'alcool pour plusieurs années et que j'ai tant d'autodiscipline que je n'ai jamais été enivré même un seul temps .
5. Si une personne est enivrée juste une fois et commet quelque chose de honteux, il ira faire restera avec lui durant sa vie.
Supposons qu'un ivrogne social ’ perd son autodiscipline juste une fois. Dans un état de l'ivresse et il commet le viol ou l'inceste. Même si on regrette plus tard l'acte, un humain normal portera probablement la culpabilitédurant toute sa vie. Tant l'auteur que le la victime ont endommagées irréparablement et irréversiblement.
6- L'alcool est interdit dans le Hadith Le Prophète Muhammad sws a dit :
Dans Sunan Ibn-I-Majah Le volume 3, le Livre d'Intoxicants, le Chapitre 30 Hadith No. 3371.
"L'alcool est la mère de tous les maux et c'est le plus honteux des maux. "
Dans Sunan Ibn-I-Majah Le volume 3, le Livre d'Intoxicants, le Chapitre 30 Hadith No. 3392
"N'importe qui fait enivrer en une grande quantité, est interdit même dans sa petit quantité. "
Selon Sunan Le Volume d'Ibn-I-Majah 3, le Livre d'Intoxicants, le Chapitre 30 Hadith No. 3380.
Il a été annoncé par Anas (Allah de mai être content de lui), que le Prophète Muhammad sws a dit :
ALLAH swt a maudit dix groupes des gens qui s'occupent d'alcool. Celui qui le distille, celui pour qui cela a été distillé, celui qui le boit, celui qui le transporte, celui a qui il a été apporté, celui qui la sert celui qui le vend, celui qui en utilise de l'argent, celui qui l'achète et celui qui l'achète pour quelqu'un d'autre. "
7. Les maladies associées a l'alcoolisme
Il y a plusieurs raisons scientifiques pour la prohibition de consommation d'intoxicants c'est-à-dire l' alcool. Le nombre maximum de morts dans le monde en rapport avec toute une cause particulière est dû à la consommation d'alcool. des millions des gens meurent chaque année seulement a cause de la consommation d'alcool. sans entrer en détail Ci-dessous est une liste simple de peu d'alcool et maladies liées :
La cirrhose de Foie bien connu qu'il lié avec l'alcool
D'autres sont le Cancer d'Oesophage, le Cancer de Tête et de Cou, le Cancer de Foie (Hepatome), le Cancer d'Intestin, etc.
L'oesophagite,, la Gastrite, Pancréatite et l'Hépatite sont reliés avec la consommation d'alcool.
La cardiomyopathie, Hypertension, Artherosclerosis Coronaire, Angine et Crises cardiaque est liée avec les prises de l'alcool lourdes.
Stroke(attaques cérébrales) l'Apoplexie, crises et les différents types de Paralysie sont reliés avec la consommation d'alcool.
Névropathie périphérique Atrophie Corticale, l'Atrophie Cérébelleuse sont des syndromes célèbres provoqués par la consomation d'alcool .
Wernicke – Korsakoff le syndrome avec l'amnésie d'événements récents, confabulations et retainment de mémoire avec les différents types de paralysie sont surtout en raison du manque de thiamine en raison de consommation d'alcool excessive.
Béribéri et d'autres manques sont assez communs parmi les alcooliques. Même Pellagra se manifsete chez les alcooliques.
Delerium Tremens est a la complication sérieuse qui peut se produire pendant l'infection périodique d'alcooliques ou de poste en vigueur. Il se produit aussi pendant l'abstention comme un signe d'effet de retrait. C'est tout à fait sérieux et peut provoquer la mort même si il a été traité dans les centres bien équipés.
nombreux Désordres Endocrines ont été associés avec alcoolisme qui varie de Myxodema à Hyperthyroïdie et Syndrome Cushing Fleuri.
Les effets négatifs hématologiques sont longs et variables.. Le manque d'acide folique est la manifestation la plus commune d'abus alcoolisé qui résulte en Anémie Macrocytic. Le syndrome de Zeive est une triade d'Anémie Hémolytique, Jaunisse et Hyperlipaedemia qui suivent des folies alcoolisées.
La thrombocytopénie et d'autres anomalies de plaquette ne sont pas rares dans les alcooliques.
Le communément metronidazole du comprimé usagé (flagyl) réagit réciproquement mal avec alcool.
L'infection périodique est très commun parmi les alcooliques chroniques. La résistance à maladie et le système de la défense immunologique est compromise par la consommation d'alcool.
Les infections de la poitrine sont notoires sont notoire chez les alcooliques. La pneumonie, le Poumon Abcess, l'Emphysème et la Tuberculose Pulmonaire sont tous communs chez les alcooliques.
Pendant ivresse alcoolisée aiguë, la personne ivre vomit habituellement,, les réflexes de la toux qui sont protecteurs sont paralysés. Les vomitus passe ainsi facilement au poumon provoquant l'Abcès de Poumon ou la Pneumonie. De temps à autre il peut même provoquer la suffocation et la mort.
Les effets négatifs de consommation de l'alcool sur les femmes méritent la mention spéciale. Les femmes. sont plus vulnérables à Cirrhose concernant l'alcool que les hommes. Pendant la grossesse la consommation d'alcool a un sévère effet préjudiciable sur le foetus. Le Syndrome d'Alcool Foetal est reconnu plus et plus dans la profession médicale.
les maladies cutanées sont aussi en rapport avec indulgence de l'alcool
Eczéma, Alopécie, Dystrophie , Panaris (l'infection autour des ongles) et de Stomatite Anguleuse (inflammation de l'angle de la bouche) est des maladies communes parmi alcooliques.
9. L'alcoolisme est une ‘disease (maladie)’
La Recherche Islamique La fondation a publié une brochure qui dit :
Si l'alcool est une maladie, cela est la seule maladie que :
- Est vendu dans les bouteilles
- Est annoncé dans les journaux, les magazines, en radio et la télévision
- A autorisé des débouchés à l'étendre
- Produit le revenu pour le gouvernement
- Provoque des morts violentes sur les autoroutes
- Détruit la vie de famille
- N'a pas de germes ou cause virale
L'ALCOOLISME est l'oeuvre de satan
Allah (swt) dans Sa Sagesse Infinie nous a prévenus contre ce piège de Satan. Islam est appelé le "Deen-ul-Fitrah" ou la religion naturelle d'humain Tous ses ordres sont visés à conserver l'état naturel d'homme. L'alcool est une déviation de cet état naturel, pour l'individu aussi bien que pour société. Il dégrade l'homme à un niveau au-dessous de cela des bêtes qu'il prétend être supérieur à. D'où la consommation d'alcool est interdite dans Islam.
par dr zaki naik
d apres allah l alccol contient des interets pr les gens mais il a dit q il y a plus de mal que de bien.....elle ete permise mais en priant les gens ivres petaient,rotaient et parlaient seuls en priant,,alors le coran a averti les gens d eviter l alcool ((wala taqrabo salata wa antoum soukara hata ta3lamou ma taqouloune)) n approchez pas la priere pendant q vs etes ivres jusqu a ce q vs sachiez ce k vs dites)) aussi allah a dit q les jeux ,les paris,l alcool, sont des sales affaires sataniques,evitez ca probablement vs reussissez...
wallah wa3lam,,,, _________________ laylatoun ba3da laylatine
ba3da oukhra
walayali seeba tamoro 3ijala
yalayta zamana seeba ya3odo
a7ki laho mada fa3ala bya lmachibo
Trois spécialistes répondent : la chercheuse Marie Choquet*, le professeur Michel Reynaud ** et l'alcoologue Jean-Paul Jeannin***
Les jeunes d'aujourd'hui boivent-ils réellement plus ? Non, la consommation globale d'alcool des jeunes semble stabilisée depuis quelques années. Mais les moins de 25 ans, tous milieux sociaux confondus, boivent beaucoup plus d'alcools forts dans un but affiché : la recherche d'ivresse. Depuis quinze ans, le nombre d'ivresses a augmenté de 30% dans cette tranche d'âge. Le modèle latin (la consommation élevée de vin pendant les repas), longtemps dominant, est dépassé par le modèle anglo-saxon. «Aujourd'hui, on ne boit plus à table. Mais on se défonce à la bière ou aux alcool forts le samedi soir», explique Jean-Paul Jeannin. Un nombre croissant de jeunes recherchent dans l'alcool l'effet d'une drogue et l'associent fréquemment à d'autres substances : médicaments psychotropes, cannabis, héroïne, LSD. Aussi inquiétant, le premier contact avec l'alcool se fait, apparemment, de plus en plus tôt. «On voit des gamins de 9-10 ans, souvent issus de milieux difficiles, prendre des cuites à la bière», assure Michel Reynaud. Enfin, si les filles continuent de boire moins d'alcool que les garçons, l'écart entre les deux sexes se resserre. Comment expliquer la défonce du samedi soir ? Dans l'imaginaire collectif, l'alcool est un produit associé à la fête, au plaisir. Valorisé socialement, il s'inscrit dans nos comportements ordinaires. Jean-Paul Jeannin multiplie les exemples : «Pourquoi n'offre-t-on pas du thé à la menthe à l'heure de l'apéritif ? Pourquoi parle-t-on de "vin d'honneur" et non pas de jus d'orange d'honneur ? Tout ceci n'est pas neutre.» «L'alcool est symbole de l'entrée dans le monde adulte et facteur de socialisation. Rien d'étonnant que les jeunes aient envie de boire», ajoute le psychiatre. Ces dernières années, l'alcool est aussi devenu beaucoup plus accessible. La loi n'est pas appliquée. Un adolescent peut aller dans un bar, un supermarché, et se procurer de la vodka ou du whisky. Et, avec les premix et les bières à 10 degrés, les alcooliers ont su séduire cette jeune clientèle, au pouvoir d'achat en augmentation. Marie Choquet insiste sur le mal-être de la génération actuelle : «La défonce est d'abord associée aux difficultés des adolescents.» Mais la chercheuse refuse toute stigmatisation : «Cessons de regarder les jeunes à la loupe. Ceux qui boivent le plus, c'est quand même nos vieux.» Jean-Paul Jeannin acquiesce. Pour lui, l'alcoolisation des moins de 25 ans est inséparable de celle du reste de la société. «Les Français sont parmi les plus gros consommateurs d'alcool et de psychotropes au monde. Comment voulez-vous qu'une société inquiète et intoxiquée ne produise pas une jeunesse intoxiquée ?» Quels sont les risques d'une consommation précoce ? D'abord les accidents de la route. Un taux d'alcoolémie supérieur à 0,5 g/l (environ 3 verres de vin) multiplie les risques d'accident par deux ; avec un taux de 1 g/l, le risque est décuplé. Les spécialistes plaident pour des contrôles renforcés à la sortie des bars et des boîtes de nuit le week-end. Une forte consommation d'alcool engendre aussi des comportements violents. Michel Reynaud rappelle que 50% des crimes et délits, en particulier les viols, sont commis sous l'emprise de l'alcool. Marie Choquet s'inquiète du nombre de «rapports sexuels non voulus et non protégés chez les jeunes filles qui boivent». Mais elle reste globalement optimiste : «Vers l'âge de 25 ans, à l'entrée de la vie professionnelle et familiale, la majorité des jeunes reviennent à une consommation normale.» Seul Jean-Paul Jeannin souligne réellement le risque de dépendance. «Aujourd'hui, on commence à accueillir dans les CHAA [Centres d'Hygiène alimentaire et d'Alcoologie] des alcoolo-dépendants qui ont 22-23 ans.» Surtout, les adultes qui ont bu à l'excès durant leur jeunesse seront plus enclins à se raccrocher à l'alcool en cas de coup dur, perte d'emploi ou divorce. L'alcoologue conclut : «On ne peut pas flirter avec des alcoolisations massives sans prendre des risques de dépendance, surtout chez un individu qui, au départ, a des fragilités biologiques ou psychiques. Une chose est sûre : nous sommes tous inégaux devant l'alcool.»
Propos recueillis par Sophie des Déserts (*) Chercheur à l'Inserm (Institut national de la Santé et de la Recherche médicale). (**) Professeur de psychiatrie au CHU de Clermont-Ferrand, auteur avec Philippe-Jean Parquet du rapport « les Personnes en difficulté avec l'alcool », publié en mars. (***) Alcoologue, enseignant à l'ENS (Ecole normale sociale).
Des Chiffres...
(source: AFP)
L'Européen boit entre 6 et 14 litres d'alcool pur par an, la palme étant détenue par les Français (14,1 litres) et les Luxembourgeois (14,6 litres). Réalistes pour la plupart des pays cités, les chiffres cités par l'ANPA sont cependant à prendre avec précaution car la fabrication et la consommation de boissons fabriquées clandestinement échappe à toutes les statistiques.
Taxés à 20,6 %, les vins et alcools ont rapporté un peu moins de 16 milliards de francs à l'Etat et la vignette spéciale frappant les boissons contenant plus de 25 % d'alcool a permis de verser directement 2,3 milliards supplémentaires à la "sécu".
Des chiffres sans commune mesure avec le coût médical de l'alcoolisme. Selon l'INSERM, la mortalité par psychose alcoolique a diminué presque de moitié en trente ans, de 18.000 morts en 1960 à 11.000 en 1997 mais l'alcool coûte tout de même 65 milliards de francs en traitements, 8 milliards en hospitalisations et 500 millions pour les centres de désintoxication. Et si - comme vient de le faire l'économiste Pierre Kopp - on ajoute à la facture le "coût social" de l'alcool (pertes de productivité engendrées par les décès et absentéisme), on aboutit à la somme de 115 milliards de francs.
Ce que l'Alcool nous apporte:
Il y a quelques années, on nous a dit que les Français avaient le plus faible risque de maladies cardio-vasculaires grâce à la consommation de vin rouge. Ce qu'on a oublié de dire est que les Français ont le pourcentage le plus élevé au monde d'alcoolisme, cancer du foie et cancer du pancréas. Le corps humain n'a PAS besoin d'alcool.
Aux Etats-Unis, chaque année, ce sont 400 milliards de dollars qui sont dépensés dans la publicité pour alcool et 100 milliards de dollars dépensés pour remédier aux dommages dus à l'alcool. Ce sont au moins 100,000 morts par an et un taux de 40% de lycéens qui boivent trop. Si l'alcool réduisait le risque de maladies cardio-vasculaires, les Américains devraient être les personnes les plus saines au monde. Au lieu de cela, les Etats-Unis sont le pays qui a les taux de maladies cardio-vaculaires, diabètes et cancers les plus élevés au monde ! (source : American Medical Association).
Une étude allemande a montré les effets de l'alcool sur les foetus quand le père boit : malformations physiques, dommages cérébraux, etc. La conclusion de l'étude est qu'il faudrait arrêter de boire de l'alcool 2 à 3 mois avant la conception du bébé.
A la vôtre!
Boire avec modération?
Est-ce possible?
Quand on parle aux "buveurs", des dangers de l'alcool, la première réaction que l'on obtient est "le problème n'est pas l'alcool mais la quantité que l'on absorbe. Si on boit avec modération il n'y a aucun problème".
Mais qu'entend-on par "modération" ? Certaines personnes disent qu'un ou deux verres de vins par jour est le maximum, tandis que d'autres acceptent un petit cognac ou 3 bières.
A vrai dire, "modération" ne veut rien dire et n'est pas applicable car nous sommes tous inégaux devant l'alcool.
Alors que Gérard a besoin de 3 scotchs, 3 bières et 2 vodka pour commencer à se sentir "bizarre", une seule bière est suffisante pour Michelle.
On ne peut pas fixer de limite de consommation au-delà de laquelle l'alcool est dangereux, pour la simple raison que cette limite est variable selon la personne concernée. Cette limite, si elle pouvait être définie, dépendrait du sexe de la personne, de son âge, de son poids et de sa taille, de sa santé, de son patrimoine héréditaire, de son "expérience" dans le domaine, etc.. En clair, chaque personne aura besoin d'une limite personnelle. On peut alors voir qu'il est totalement absurde de parler d'un maximum de 2 verres de vin ou de 1mg/L dans le sang. Si l'on fixe une limite, il faudra bien se rendre compte qu'en faisant cela, on "oublie" une partie de la population, pour qui cette limite est synonyme de "cuite".
Tout cela est sans compter sur la dépendance.
On ne peut donc pas fixer de dose limite et boire "avec modération" ne signifie rien de concret.
L'alcool est dangereux dès la première goutte.
Si la dependance n'existait pas, les problèmes d'alcoolisme n'existeraient pas.
N'oubliez pas que l'alcool a tout son temps pour s'occuper personnellement de vous.
A-t-on besoin d'en savoir
plus pour s'en éloigner?
L'alcool paralyse les sens,
L'alcool fait vomir,
L'alcool rend malade,
L'alcool tue,
L'alcool donne une image misérable de la personne que vous êtes,
L'alcool transforme le plus gentil des hommes en un monstre violent qui insulte et frappe tout ceux qui l'entourent,
L'alcool brise les couples,
L'alcool dissout les mariages,
L'alcool a tout son temps pour s'occuper de vous et de vos enfants.
Continuez à croire que vous êtes maître de vous-même.
"Ça ne me concerne pas
car je ne bois pas"
Vous n'avez pas besoin de boire pour devenir une victime de l'alcool.
L'alcool peut vous tuer ou tuer l'un de vos proches ou l'un de vos amis sans même que ce dernier ait touché un verre. Les accidents de la route ne tuent pas que des buveurs. Beaucoup d'innocents trinquent. La même chose se produit avec les gens qui respirent les fumées de cigarettes alors qu'ils ne fument pas.
L'alcool peut gâcher votre vie ou celle de votre moitié. La majorité des agressions sexuelles (et des violences en général) sont commises sous l'emprise de l'alcool. C'est facile : "Pas d'alcool = plus de 50% de viols en moins".
L'alcool peut faire de vous une "victime innocente".
A vous de choisir.
Si vous voulez rester muet quand des gens partout autour de vous peuvent tuer ou violer vos proches, c'est votre choix.
2. La vache (Al-Baqarah) - 219 : Ils t'interrogent sur le vin et les jeux de hasard. Dis: ‹Dans les deux il y a un grand préjudice et quelques avantages pour les gens; mais dans les deux, le préjudice est plus grand que l'utilité›.saint coran
source : www.air-islam.com
Qu'est-ce que les musulmans pensent de l'alcool ? Pourquoi ?
L'alcool est aujourd'hui considéré dans certains pays comme une drogue "douce" en soi. Et pourtant ses ravages sont terribles. Tant au niveau de la santé physique (cirrhoses, cancers) que de la santé mentale (addiction), les troubles qu'il cause sont là. Ses effets ne se limitent pas à l'individu mais touchent la famille (violences conjugales, parentales) et la société (coups et blessures, meurtres, accidents de la route). Comment le musulman et la musulmane considèrent-ils l'alcool ?
Les textes de la révélation ont strictement interdit l'alcool (Coran 5/90). De toutes les choses que ces textes ont déclaré interdites, certaines sont telles qu'elles ne contiennent que ce qui est nocif à l'être humain (sur le plan physique, sur le plan spirituel, sur le plan mental, sur le plan familial, sur le plan social ou autre) ; d'autres choses sont telles qu'elles contiennent à la fois ce qui est utile et ce qui est nocif pour l'être humain, mais ce qui est nocif domine ce qui est utile ; les textes de la révélation les ont donc strictement interdites également. Ainsi en est-il de l'alcool, dont Dieu a explicitement dit qu'il contient ce qui est utile mais aussi ce qui est nocif mais ce qui est nocif domine (Coran 2/219). L'alcool procure par exemple à l'organisme une sensation de chaleur et l'aide ainsi à supporter le froid, mais cet avantage n'est pas suffisant pour contrebalancer les ravages qu'il cause par ailleurs ; Dieu l'a donc strictement interdit. "Et il se peut que vous aimiez quelque chose alors qu'elle est nocive pour vous. Dieu sait…" (Coran 2/216). Un Compagnon habitant une région froide d'Arabie avait ainsi demandé au Prophète si les musulmans de cette région pouvaient absorber une boisson faite à partir du blé, qui les aidait à supporter le froid et les durs travaux. "Cette boisson cause-t-elle l'ivresse ? s'enquit le Prophète. - Oui. - Eh bien vous devez vous en abstenir" (rapporté par Abû Dâoûd, n° 3683).
A l'aube de la venue de l'islam, les habitants de la péninsule arabique étaient depuis longtemps de grands amateurs d'alcool. L'alcool de raisin, de datte, de miel, de maïs, etc. y étaient fabriqués et consommés avec grand plaisir. Voulant détacher les musulmans de l'alcool, l'islam ne s'y prit pas de façon brutale. Comme Al-Qardhâwî l'a écrit, les sources de l'islam communiquent "croyances, conception de la vie et actes de culte ; pensée et sentiments ; éthique et valeurs ; règles de politesse et traditions ; droit et législation. Tous ces éléments sont constitutifs de la société musulmane. Le droit n'est – malgré son importance – qu'un élément parmi d'autres. Comment penser que par le simple fait d'avoir émis quelques règles juridiques, nous aurons donné naissance à la société musulmane voulue ? Une législation seule ne forme pas un peuple : elle doit être appuyée par un changement de pensée et de sentiments" (Chariat ul-islâm sâliha lit-tatbîq fî kulli zamân wa makân, p. 134). C'est bien pourquoi Jundub ibn Abdullâh raconte l'expérience vécue en la compagnie du Prophète : "Nous étions, jeunes hommes, auprès du Prophète. Nous apprîmes la foi avant d’apprendre le Coran [c’est-à-dire les règlements coraniques]. Puis nous apprîmes le Coran, ce qui fit augmenter notre foi" (rapporté par Ibn Mâja, n° 61).
Pédagogie divine concernant l'alcool
C'est pour la même raison que Aïcha, épouse du Prophète (sur lui la paix), raconte : "Parmi les premiers passages du Coran à avoir été révélés, il y a une sourate parmi les sourates mufassal, dans laquelle il est question du Paradis et de l’Enfer ; et puis, lorsque les hommes retournèrent vers l’islam, le licite et l’illicite furent révélés. Si dès le début Dieu avait révélé : “Ne buvez plus d’alcool”, les hommes auraient dit : “Nous ne le délaisserons jamais !”. Si dès le début Dieu avait révélé : “Ne commettez plus l'adultère !”, les hommes auraient dit : “Nous ne le délaisserons jamais !”…" (rapporté par Al-Bukhârî, n° 4707).
Ce n’est qu’après ce long et profond travail sur les cœurs que la révélation s’est mise à édicter obligations et interdits, parmi lesquels l'interdiction de l'alcool. Et même ici, elle a encore choisi la voie du pragmatisme. En effet, le texte coranique, aujourd’hui encore, témoigne de la patiente progression et de la pédagogie qui furent les siennes dans la mise en place de l’interdiction : d'abord il a été dit que l'alcool était source d'avantages et d'inconvénients et que ses inconvénients dominaient ses avantages (Coran 2/219) ; puis il a été dit qu'il est désormais interdit de se trouver en état d'ivresse au moment d'une des cinq prières quotidiennes (Coran 4/43) ; puis l'alcool a été définitivement interdit (Coran 5/90). Ce processus s'est étalé sur une période de plusieurs années.
Le monde entier reconnaît que l'alcoolisme est un fléau sanitaire, familial et social. Au sujet des méfaits de l'alcool, cliquez ici pour lire le rapport de l'INSERM, ici pour lire le rapport du Réseau Canadien de la Santé et ici pour lire le rapport Médecine et Santé. Le monde entier reconnaît les ravages causés par cette "drogue". Mais si l'islam a, au VIIème siècle, réussi à amener globalement les hommes de toute une terre – l'Arabie – à se défaire de leur alcoolisme, c'est à cause de deux particularités : un profond travail sur les cœurs et les esprits sans interdiction dans un premier temps, puis, dans un second temps, une interdiction progressive liée à la responsabilité devant Dieu. Et c'est ce qui fait la différence d'avec la tentative avortée des Etats-Unis avec la Prohibition dans les années 20 du XXème siècle.
Quelques règles que le musulman cherche à respecter à propos de l'alcool
1) Le musulman se préserve de tout alcool, quel que soit le produit à partir duquel celui-ci a été fabriqué
Le Prophète a dit : "Tout ce qui enivre est vin. Et tout vin est interdit" (rapporté par Muslim, n° 2003). Un jour, questionné par un homme originaire du Yémen au sujet d'un alcool que les Yéménites fabriquaient à partir du maïs, le Prophète lui demanda : "Provoque-t-il l'ivresse ? – Oui, répondit l'homme. – Tout ce qui enivre est interdit" répondit le Prophète (rapporté par Muslim, n° 2002).
2) Le musulman se préserve de consommer même en petite quantité ce qui n'enivre que lorsque consommé en grande quantité
On a beau dire qu'on ne boira qu'un petit verre, le premier verre en appelle un second, et chemin faisant, toute la bouteille y passe. C'est une des constantes de la nature humaine. Le Prophète, fin psychologue, a donc interdit de consommer même en une quantité faible au point de ne pas provoquer l'ivresse, ce qui provoque l'ivresse lorsque pris en plus grande quantité : "Ce qui provoque l'ivresse en grande quantité est interdit même en petite quantité" (rapporté par Abû Dâoûd, n° 3681). "Ce dont la (consommation d') un farq [= quelques litres] provoque l'ivresse, même la consommation de ce qui tient dans le creux de la main en est interdite" (rapporté par Abû Dâoûd, n° 3687, At-Tirmidhî, n° 1866).
Il faut préciser ici que certains illustres savants étaient d'avis que seul l'alcool de raisin est interdit en grande et en petite quantité ; quant aux autres alcools, ils sont interdits lorsqu'ils sont pris en quantité telle qu'elle provoque l'ivresse ; par contre, il n'est pas interdit d'en consommer en quantité tellement minime qu'elle ne provoque pas l'ivresse et à condition que ce soit pour une raison valable – davantage de force physique. Mais Shah Waliyyullâh et Ibn Rushd disent ceci : tous les savants sont unanimes à dire que l'alcool de raisin est interdit en grande comme en petite quantité ; or dire que l'alcool de raisin est interdit en grande comme en petite quantité, mais que l'alcool fait à partir d'autres produits est, lui, autorisé en petite quantité et interdit seulement en grande quantité, cela ne correspondrait pas à l'habitude du droit musulman, qui est de ne pas faire de différence entre deux choses semblables ["jam' bayn al-mutamâthilayn"] (Hujjat ullâh il-bâligha, tome 2 p. 438 et p. 509, Bidâyat ul-mujtahid, tome 2 p. 876). Shâh Waliyyullâh écrit qu'en fait l'avis de ces illustres savants des premiers temps est dû au fait que le Hadîth "Ce qui provoque l'ivresse en grande quantité est interdit même en petite quantité" n'était pas parvenu à certains Compagnons et à leurs élèves. "Ils sont donc excusables, écrit Shâh Waliyyullâh. Mais le Hadîth ayant été diffusé ensuite partout, quelqu'un n'a plus d'excuse aujourd'hui" (Hujjat ullâh il-bâligha, tome 2 pp. 509-510). D'ailleurs, au sein de l'école faisant cette différence entre alcool et alcool, la fatwa est donnée selon l'avis des savants disant que la consommation de tout alcool est interdite, même en petite quantité (avis de Muhammad ibn al-Hassan).
3) Le musulman se préserve de faire le commerce de l'alcool et de favoriser sa consommation
Le Prophète a dit : "Dieu a interdit de vendre l'alcool, la bête non abattue rituellement (mayta), le porc et les idoles" (rapporté par Al-Bukhârî, n° 2121, Muslim, n° 1581, etc.). Le Prophète a également interdit que le musulman fabrique du vin, qu'il en transporte, qu'il le serve à boire à quelqu'un, etc. (extrait du Hadîth n° 1295 rapporté par At-Tirmidhî). Le musulman n'offre pas non plus d'alcool à quelqu'un. Persuadé qu'il s'agit de quelque chose de nocif, il ne peut offrir pareille chose à quelqu'un d'autre. "Ne pourrais-je pas en offrir à des juifs ?" demanda quelqu'un au Prophète. "Celui qui a interdit le vin a aussi interdit qu'on en offre aux juifs" (rapporté par al-Humaydî, cité dans Al-halâl wal-harâm, p. 6.
Cependant, les non-musulmans vivant en pays musulman ont pour leur part la liberté d'en acheter et d'en vendre pour leur propre consommation, tout en respectant l'ordre public.
4) Le musulman ne s'assoit pas dans les assemblées de beuverie
Le Prophète a dit : "Celui qui croit en Dieu et au jour dernier, qu'il ne s'assoie pas à une table sur laquelle l'alcool est bu" (ad-Dârimî 2092, Ahmad 14241 ; voir aussi at-Tirmidhî 2801, Ahmad 126).
Ibn Taymiyya écrit : "Il n'est pas permis à quelqu'un d'assister, de son plein gré et sans qu'il y ait nécessité ("dharûra"), à des assemblées où l'on fait le mal", et de citer ensuite le Hadîth ci-dessus (Majmû' ul-fatâwâ 28/221). Qu'est-ce que ce genre de nécessités ? Il y a assurément ce qu'il cite dans un autre passage : "celui qui est alors présent sans l'être de son gré" : celui-là ne commet pas un acte interdit (Ibid. 28/204).
Le même Ibn Taymiyya nomme cependant, ailleurs, des exceptions plus générales par rapport à la règle normale d'interdiction : "L'homme ne doit pas aller dans des lieux où il assistera à des actions mauvaises alors qu'il n'a pas la possibilité d'inciter à (les) abandonner ; sauf s'il y a une cause reconnue par les textes : comme le fait qu'il se trouve là-bas chose dont il a besoin pour l'avantage de sa pratique religieuse ou de ses affaires temporelles ("maslahatun fî dînihî aw dunyâh") et pour laquelle il n'a pas d'autre issue que d'aller en ce (lieu) ; ou bien qu'il ait été forcé (par quelqu'un) d'y aller. Mais pour ce qui est de se rendre en (pareil lieu) pour le simple divertissement", alors cela reste sous le coup de l'interdit (Ibid. 28/239). Voyez : ici, l'exception par rapport à la règle d'interdiction concerne non plus seulement le fait d'y avoir été contraint, mais aussi le fait de ne pas avoir d'autre issue que celle de se rendre en un tel lieu pour acquérir un avantage reconnu comme tel par les sources. Il faut donc deux choses : qu'il y ait, en le fait de se rendre en un tel lieu, un avantage qui soit reconnu tel par les textes des sources ; de plus, que cet avantage ne puisse pas être obtenu autrement que par le fait de se rendre en ce lieu.
Quelle "maslaha" peut-il y avoir dans le fait de se rendre en pareil lieu ? Ibn Taymiyya cite "celui qui est présent auprès de telles gens pour les inciter à cesser" (Ibid. 28/204). A la lecture de ces lignes du savant damascain, j'ai pensé à un autre cas qui se pose parfois : un homme ou une femme s'est converti(e) à l'islam alors que ses parents sont restés non-musulmans ; ceux-ci l'invitent à partager un repas qu'ils préparent en veillant à ce qu'aucun ingrédient illicite pour le musulman n'y soit mélangé ; le seul problème est qu'à table trône une bouteille d'alcool dont ces parents font une consommation personnelle au milieu du repas. Ce fils ou cette fille peut-il (elle) répondre à cette invitation et s'asseoir à cette table ? Au vu du principe énoncé par Ibn Taymiyya, la réponse serait "oui" : l'objectif de ce fils ou de cette fille est de contenter le cœur de ses parents en répondant à leur invitation, et c'est là un avantage reconnu comme tel par les sources, Dieu demandant au fils d'être de bonne compagnie pour ses parents même "s'ils veulent t'amener à Me donner des associés" : il s'agit alors ne pas obéir à cette demande mais à continuer à être de bonne compagnie envers eux (Coran ). Or cet avantage passe par le fait de répondre à leur invitation, car ils se sentiraient vexés par un refus, alors que d'autre part il n'est pas toujours possible de leur dire sans les vexer – voire même les braquer – qu'un musulman ne peut s'asseoir à une table où l'alcool est consommé. Je me suis renseigné auprès d'un mufti réunionnais pour lui demander si ma pensée à ce sujet était correcte, il m'a répondu que oui.
5) Le musulman considère-t-il l'alcool comme étant impur rituellement ?
La majorité des juristes considèrent en effet l'alcool comme étant rituellement impur (najâssa hissiyya), ce qui fait que la partie des vêtements ou du corps qui a été touchée par l'alcool doit être lavée avant que l'on puisse accomplir la prière (salât). Ils se fondent sur le verset qui dit de l'alcool qu'il est "rijs" (Coran 5/90), qu'ils traduisent par "impur rituellement" (Cf. Bidâyat ul-mujtahid, tome 1 p. 148, Al-fiqh al-islâmî wa adillatuh, tome 1 p. 303 et tome 7 p. 5496).
Seuls Rabî'at ur-ra'y, al-Layth ibn Saad, al-Muzanî et quelques autres juristes pensent que l'alcool n'est pas impur rituellement (najâssa hissiyya) mais qu'il constitue une impureté sur le plan moral seulement (najâssa ma'nawiyya) (Fatâwâ mu'âsira, tome 3 p. 564).
6) Le musulman peut-il vendre du raisin à celui dont il sait qu'il en fera de l'alcool ?
D'après ce que al-Haskafî a écrit comme principe d'après Abû Hanîfa : la règle, à propos de toute chose dont certaines utilisations sont licites et d'autres illicites, et dont on pense que l'acheteur va l'utiliser de façon illicite, est la suivante :
- s'il s'agit d'une chose qui est utilisable de cette façon illicite dans sa forme actuelle, alors il est interdit de la vendre à celui dont on est certain ou quasi-certain qu'il va en faire une utilisation illicite ;
- par contre, s'il s'agit d'une chose qui ne peut être utilisée de façon illicite qu'après avoir été transformée par l'acheteur, alors il est seulement déconseillé (mak'rûh tanzîhan) de la vendre à celui dont on est certain ou quasi-certain qu'il va la transformer et utiliser ensuite le produit obtenu de façon illicite.
Selon cet avis, il est interdit de vendre des armes à celui dont on est quasi-certain qu'il va les utiliser pour voler et piller : on sait qu'il va en faire une utilisation illicite, et cette utilisation illicite se fait, avec les armes, telles qu'elles sont vendues. Par contre, il est seulement déconseillé de vendre du raisin à celui dont on pense qu'il va en faire du vin, car c'est après transformation en matière illicite ce qui était licite que l'acheteur va en faire une utilisation illicite.
Par contre, d'après les juristes Mâlik et Ahmad, il est interdit de vendre du raisin à celui dont on est certain ou quasi-certain qu'il va en faire du vin (Zâd ul-ma'âd, tome 5 p. 763, Al-fiqh al-islâmî wa adillatuh, tome 5 p. 3458). Abû Yûssuf et Muhammad ibn al-Hassan sont du même avis (Jadîd fiqhî massâ'ïl, p. 375). Cette règle concerne le cas de l'acheteur potentiel dont on sait pertinemment qu'il va faire du vin du raisin qu'il achète. Cependant, si on ne savait pas et on le lui a vendu puis on découvre qu'il en a fait du vin, on n'a rien à se reprocher. On ne doit d'ailleurs pas devenir soupçonneux et demander à chaque acheteur potentiel ce qu'il compte faire du raisin qu'on vend. Pour davantage de détails sur ce point, lire mon article à propos de vendre ce dont on sait que l'acheteur fera une utilisation illicite.
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en cki concerne la kestion de foi, c personnel, c une relation vertical entre dieu est ses sujet,et ke personne na le droit de sy meler! et c garantie par la religion elle meme!lislam c tres sympa, lalcool ca fait perdre la nature humaine, et chakun fait ckil veut tan kil ne derange pas les otr!
en le faisant peut etre tu va te rendre compte ke ce n'est plus 1 affair personnel vu les repercussions de leur etat sur les autres
