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Obama voit des "signes de progrès" économiques mais prêche la patience
WASHINGTON (AFP) - Le président américain Barack Obama a dit mardi voir des signes d'amélioration économique, mais a prévenu qu'il faudrait de la patience pour sortir de la récession, au début d'une conférence de presse donnée à un moment délicat pour sa jeune administration.
"Nous commençons à voir des signes de progrès", a-t-il dit après avoir invoqué la stratégie adoptée par son gouvernement pour "attaquer la crise sur tous les fronts", selon des extraits du propos qui devait introduire la deuxième véritable conférence de presse de sa présidence, à partir de 20H00 (00H00 GMT mercredi).

"Nous allons nous remettre de cette récession. Mais cela réclamera du temps, cela réclamera de la patience, et cela réclamera que nous nous rendions compte que c'est quand nous travaillons ensemble... que nous réussissons", a-t-il dit, selon ces extraits publiés par avance par la Maison Blanche.


Au 64e jour de la présidence, ce rendez-vous avec les journalistes fait partie d'une campagne destinée à faire entendre le message de l'administration, couvert par le premier grand scandale de l'ère Obama, et à inspirer confiance à des Américains confrontés à leur pire récession depuis la Grande dépression des années 30.

La semaine passée a été la plus dure de l'administration, après la révélation que le géant de l'assurance AIG avait versé 165 millions de primes à certains de ses salariés alors qu'il ne devait son salut qu'aux injections d'argent de l'Etat.

Si M. Obama reste populaire, avec plus ou moins 60% d'opinions favorables, cette affaire a suscité une indignation susceptible de compliquer les plans du président pour sortir de la crise. Elle a aussi fragilisé un membre essentiel de son gouvernement, le secrétaire au Trésor Tim Geithner.

Or M. Obama a de durs combats en perspective. Les mesures de rétorsion que le Congrès envisage actuellement après l'affaire AIG risquent de faire peur à tous ceux qui seraient tentés d'appeler l'Etat à leur secours.

Alors que l'administration Obama examine attentivement les éventuels besoins supplémentaires des banques, tout nouveau renflouement risque de se heurter à l'opposition du Congrès.

Et M. Obama doit aussi défendre son premier budget, qui ne braque pas seulement ses adversaires républicains à cause du déficit record qu'il prévoit, mais fait aussi tiquer ses amis démocrates.

"Ce budget est inséparable du rétablissement économique", a-t-il dit mardi.

M. Obama et son secrétaire au Trésor ont paru lundi savourer un précieux répit quand les bourses ont réagi favorablement à un plan pour débarrasser les banques de leurs avoirs toxiques. Mais M. Geithner était à nouveau sur le gril mardi au Congrès.

La conférence de presse aura lieu à un moment déjà charnière pour la politique étrangère de M. Obama.

Il doit participer à un sommet réunissant le 2 avril à Londres les dirigeants des pays industrialisés et des économies émergentes pour trouver une réponse concertée à la crise. Aussitôt après, il prendra part à son premier sommet de l'Otan.

Dans les tout prochains jours, il doit annoncer une nouvelle stratégie pour l'Afghanistan, l'une de ses grandes priorités, et les défis iranien et nord-coréen demeurent entiers, malgré le message historique adressé aux dirigeants de la République islamique. Et la Corée du Nord s'apprête à procéder à ce qui est fortement soupçonné d'être un tir de missile.

Et au Proche-Orient, les experts s'inquiètent que la formation du prochain gouvernement israélien n'augure rien de bon pour l'effort de paix avec les Palestiniens.

Publié le: 24/03/2009 à 22:22:26 GMT Source : AFP
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